Le Nigeria connaîtra-t-il une répétition du « big bang » de 2004-2006, quand les minimums requis en matière de capital social ont été relevés par la Banque centrale ? Cette année, les seuils requis par la CBN explosent.
La Banque centrale du Nigeria affirme que les mesures visant à stabiliser le marché sont compromises par les activités des spéculateurs nationaux et internationaux. Accusée de manipulation du taux de change, Binance fait face à cinq chefs d’accusation devant la Haute Cour.
La valeur combinée de Transcorp Power et de son concurrent Geregu représente 8,69 % de la valeur totale du marché, contre moins de 3 % en septembre 2023.
L’augmentation de 400 points de base décidée le 27 février montre que maîtriser l’inflation est la priorité principale, selon Olayemi Cardoso, le gouverneur de la CBN.
Le groupe est revenu, le 19 février, sur les accusations de fraude dont il fait l’objet. D’après une enquête interne, aucun employé dans le pays n’avait pris part aux faits reprochés.
La Commission des délits économiques et financiers (EFCC) veut passer au crible les comptes du tycoon nigérian dans le cadre d’une enquête sur des opérations de change douteuses.
L’introduction d’un taux de change flexible du naira a porté les bénéfices bancaires, tout en plombant les résultats des entreprises qui peinent à financer leurs importations.
Le négociant asiatique, très actif sur le continent, est mis à mal par des accusations de fraude sur des opérations de change au Nigeria, l’un de ses marchés clés. Olam rejette toutes les allégations.
Pénurie de devises, crise du carburant, inflation… Alors que le Nigeria traverse une mauvaise passe économique, les propositions des candidats sur ces sujets pèseront significativement sur la décision des électeurs.
La Banque centrale du Nigeria contraint désormais les banques à un ratio minimum de prêts/dépôts aux entreprises et aux particuliers, afin de stimuler l’économie du pays. Une mesure susceptible d’inciter les banques à souscrire à des emprunts risqués, mettent en garde des analystes financiers.
Le Nigeria a annoncé le 24 décembre avoir résolu un différend avec l’opérateur de téléphonie mobile, MTN, portant sur un montant de 8,13 milliards de dollars (6,96 milliards d’euros). La Banque centrale du Nigeria accusait le géant sud-africain d’avoir rapatrié illégalement ces fonds dans son pays.