Rachetées par Moulay Hafid Elalamy et la famille Bensalah, les banques Société générale Maroc et Crédit du Maroc ont désormais les coudées franches pour grignoter davantage de parts de marché aux majors Attijariwafa Bank, BCP et Bank of Africa.
L’ancien argentier du royaume et ex-ambassadeur à Paris a pris la tête d’un fonds souverain qui doit capter plus de 10 milliards d’euros d’investissement d’ici à 2026. Un nouveau défi pour celui qui s’est illustré dans sa gestion de la crise du Covid-19.
Homme d’affaires aux multiples casquettes et proche de Bernard Koné Dossongui, le successeur de Jean-Marie Ackah devra maintenir l’unité qui a permis son arrivée aux commandes du puissant syndicat patronal de Côte d’Ivoire.
L’opération la plus marquante l’an passé a impliqué Atlantic Financial Group, BNP Paribas et Banque centrale populaire. Plongée dans les coulisses d’un coup de maître.
Jeune Afrique dévoile son classement général 2019 des 200 premières banques africaines, permettant de les comparer par leur bilan et leur produit net bancaire. Si le top 10 reste dominé par les établissements bancaires sud-africains, les marocains y consolident leur ancrage.
Conséquence du recul du géant panafricain et de la pression de ses concurrents (principalement marocains et français), jamais l’écart entre les leaders de la zone franc n’a été aussi resserré.
À l’inverse de ses concurrents internationaux, le groupe français Société générale a fait du continent Africain une priorité, avec des objectifs de rentabilité élevés.
Le cinquième anniversaire de l’outil de lutte contre la pauvreté lancé par la Première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, a été l’occasion d’annoncer l’augmentation de son capital, sur le point de passer d’1,5 à 10 milliards de francs CFA.