La Banque populaire du Maroc est un groupe bancaire et financier marocain, appelé également Groupe des Banques populaires. Il est composé de dix banques populaires régionales, qui fonctionnent en tant que sociétés coopératives. La Banque populaire est cotée à la Bourse de Casablanca.
Bousculés par les banques panafricaines et à la recherche de marchés plus importants et moins risqués, les établissements occidentaux réduisent leur exposition sur le continent.
Les actionnaires du Groupe Banque populaire sont convoqués en assemblée générale pour autoriser une émission d’obligations vertes. Une opération qui devrait recevoir le visa des régulateurs avant la clôture des travaux de la COP 22.
Baptisé « TPCI-2016-2026 », le nouvel emprunt obligataire émis par l’État ivoirien doit permettre notamment de financer les investissements prévus au budget 2016. D’une durée d’un mois, la période de souscription a démarré le 10 octobre.
Les trois principales banques du royaume chérifien, Attijariwafa Bank, BMCE et la Banque centrale populaire affichent de bons résultats au premier semestre grâce à leurs activités aussi bien au Maroc qu’à l’international. Le coût du risque reste cependant important pour elles, notamment en Afrique de l’Ouest.
Development Partners International va investir 100 millions de dollars dans Atlantic Business International, holding commun entre le marocain Banque populaire et l’ivoirien Atlantic Financial Group (AFG).
La première grande banque marocaine à avoir rendu public ses résultats semestriels s’en sort à bon compte, dans un contexte où l’activité économique a du plomb dans l’aile.
Un nouvel actionnaire devrait bientôt entrer au capital du groupe bancaire, implanté dans une demi-douzaine de pays africains. Development Partners International (DPI).
La candidature du marocain Banque populaire pour la reprise des parts de BNP Paribas (47 %) dans le capital de la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (Bicig) a été présentée au conseil d’administration de l’établissement le 27 avril.
La banque marocaine, également présente en Afrique subsaharienne, a vu son total de bilan et son résultat net part du groupe progresser en 2015, malgré une hausse du coût du risque et un marché du crédit en berne dans le royaume chérifien.
En seulement trois ans, le marocain Banque populaire a rattrapé ses concurrents en Afrique de l’Ouest et dépassé Société générale. Et le pilote de cette expansion n’entend pas lever le pied.
Pour « Jeune Afrique », le directeur associé du cabinet Devlhon Consulting analyse la stratégie des banques marocaines dans l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
ICBC ou China Exim Bank d’un côté, Banque populaire ou Attijariwafa Bank de l’autre… Les établissements multiplient les initiatives pour financer les investissements et accompagner les entreprises.
Alors que la croissance du royaume atteint 5 %, que les dépôts augmentent de 7 %, les établissements ne parviennent pas à prêter à l’économie locale. Un phénomène nouveau qui inquiète les autorités monétaires.
Atlantic Business International a obtenu, selon nos informations, l’aval de la Guinée-Bissau pour une implantation dans le seul État de l’Union économique et monétaire ouest-africaines dans lequel le holding n’était pas présent. Détails de l’opération.
La Banque centrale populaire (BCP), le deuxième groupe bancaire du Maroc, prend le contrôle de la Banque internationale pour l’Afrique au Niger (BIA-Niger) pour un investissement initial de plus de 22 millions d’euros, rapporte « Reuters ».
Le deuxième groupe bancaire du Maroc devient l’un des premiers mutualistes du continent grâce à un jeu de participations croisées. Les enjeux d’une opération à 1 milliard d’euros.
Le groupe marocain Banque populaire détient désormais 75 % du holding Atlantic Business International actif dans 7 pays d’Afrique de l’Ouest francophone. L’opération s’est conclue en toute discrétion à Casablanca, le 30 juin. Découvrez-en les détails.
En 2014, le groupe marocain Banque populaire a vu son produit net bancaire bondir de 12 % à 14,7 milliards de dirhams (1,37 milliards d’euros). En Afrique subsaharienne, il poursuit sa percée avec des résultats en nette progression.
Elle n’a que trois années d’existence. Mais déjà, la Banque islamique de Mauritanie s’est fait une place dans le paysage bancaire national. Sa recette ? Des services pratiques et, surtout, halal.
La BERD a accordé une ligne de financement de 100 millions d’euros à Banque centrale populaire pour renforcer les prêts accordés aux micro-entreprises et aux PME marocaines.
Élément central du dispositif subsaharien du marocain Banque populaire, Banque atlantique Côte d’Ivoire est devenue le numéro trois du marché local. Reste à en renforcer la rentabilité.
La Banque Populaire vient d’obtenir le feu vert pour monter sa propre compagnie d’assurances au Maroc. L’information, rapportée par le quotidien marocain « L’Économiste », sonne comme une revanche.
Un accord de cession des parts de l’État marocain dans le capital de BCP a été conclu avec le groupe bancaire. L’État, qui détenait près de 6% des parts, les cède au profit des Banques populaires régionales.
Africinvest et Cauris Management veulent se débarrasser de leurs parts (40%) dans le capital de la Banque populaire pour l’épargne et le crédit (BPEC). La tâche s’annonce pourtant difficile : les caisses du premier établissement bancaire du Togo (en nombre de comptes) sont dans le rouge.
En 2013, le groupe Banque populaire a enregistré une progression de 14,6% de son produit net bancaire à 13,2 milliards de dirhams. Il confirme sa position de n° 2 au Maroc.
Le marocain Banque centrale populaire (BCP) va injecter 145 milliards de F CFA (218 millions d’euros) dans l’économie ouest-africaine. Cette annonce a été faite pendant le premier forum économique franco-ivoirien tenu les 25 et 26 février à Abidjan. Au total, 26 conventions de coopération et de partenariat ont été signées entre le Maroc et la Côte d’Ivoire au cours de ces rencontres.
De retour d’une tournée subsaharienne, Mohamed Benchaaboun, le patron du groupe mutualiste marocain Banque populaire, explique la stratégie de développement à moyen terme de Banque Atlantique, sa dernière acquisition.