Malgré l’instabilité politique et la situation sécuritaire, le Mali reste le troisième producteur d’or du continent, le second pour la production du coton et le premier pays de l’Uemoa en matière de cheptel…
Créé il y a quatre ans, ce fonds consacré aux infrastructures constitue enfin son premier portefeuille de projets. Mais il doit pour cela mobiliser davantage d’investisseurs, à commencer par les États…
À l’occasion de la deuxième assemblée générale du fonds piloté par la BAD, de nouvelles institutions rejoignent le tour de table. La Banque centrale marocaine et la BCEAO ont injecté 25 millions de dollars dans ce véhicule d’investissement panafricain spécialisé dans les infrastructures.
La Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) ont signé un protocole d’accord portant sur un financement de 30 millions de dollars – potentiellement relevable à 100 millions de dollars – en faveur des PME de la sous-région.
Une Assemblée générale de la banque malienne BDM, organisée le 11 avril, a entériné la sortie de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest de son capital. Un nouveau pacte d’actionnaires a été présenté dans la foulée.
En 2015, les États de l’Union économique et monétaire ouest-africaine vont émettre 2 865 milliards de F CFA de dette. Pour la Banque centrale, ce recours massif à l’endettement ne devrait pas mettre en danger leur stabilité économique, d’autant plus que la région devrait connaître une croissance de 7,2 % cette année.
L’Ivoirien a été reconduit au poste de gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) pour un mandat de six ans. Il avait succédé à Henri Dacoury-Tabley en mai 2011, après la chute du président Laurent Gbagbo.
La Société financière internationale appuie la BCEAO dans la mise en place des premiers bureaux d’information sur le crédit dans la zone UEMOA afin de faciliter l’accès au crédit.
Les autorités bancaires d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale envisagent de reprendre les échanges de francs CFA que la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) avait unilatéralement suspendus depuis vingt ans.
Le nouveau gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest, Tiémoko Meyliet Koné, a déjà passé trente ans au sein de l’institution. Depuis décembre, il est aussi conseiller spécial d’Alassane Ouattara.
Le gouverneur par intérim de la BCEAO, Jean-Baptiste Compaoré, prévient que les banques collaborant avec le camp Gbagbo dans sa tentative de reconstituer un réseau bancaire opérationnel en Côte d’Ivoire pourraient être exclues des systèmes de paiement internationaux.
Alarmés par un rapport sur l’impact régional de la crise ivoirienne, les chefs d’État ouest-africains ont resserré l’étau pour précipiter la fin du pouvoir sortant. Première victime : Philippe-Henri Dacoury-Tabley, le gouverneur de la BCEAO, limogé lors du sommet de Bamako du 22 janvier. Récit des événements, vus des coulisses.
Les ressources financières de la direction de la BCEAO d’Abidjan sont au centre d’un bras de fer entre le camp de Laurent Gbagbo et celui d’Alassane Ouattara. En attendant, si les coffres sont épais, ils sont bien gardés par les forces fidèles au président ivoirien sortant.
Après la fermeture par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest de ses agences en Côte d’Ivoire, le camp Gbagbo essaie de récupérer les réserves de trésorerie de l’État ivoirien. Et celles-ci risquent de s’épuiser rapidement…
Alassane Ouattara a enregistré un soutien de poids jeudi avec sa reconnaissance comme étant « le président légitimement élu » de Côte d’Ivoire par l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
La haute main sur le coffre-fort de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) est un enjeu de taille pour Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo.
Le gouverneur de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest estime que la surveillance des sociétés impliquées dans les escroqueries dites des « Madoff africains » n’était pas de son ressort.
La Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest a décidé de retirer les billets mis en circulation en 1992. Pas moins de 850 milliards de F CFA sont en jeu. Une vaste opération étalée sur trois mois et demi, du 15 septembre au 31 décembre prochain,
Qui est derrière le casse de l’agence de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest à Bouaké ? Quel est le montant du butin ? Que fait-on pour retrouver les auteurs et les sommes dérobées ?
Droit du travail. Deux de ses anciens employés poursuivent la représentation parisienne de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest pour rupture abusive de contrat. Et sont en passe de gagner leur procès.