Le géant français de l’eau et de la gestion des déchets se voit adresser un ultimatum d’un mois par le régulateur marocain pour revendre Lydec, ex-filiale de Suez. Mais pour ce faire, il a besoin d’une autorisation qui ne vient pas. Une situation inextricable.
Après n’avoir cessé de les rappeler à l’ordre, la Caisse des dépôts et consignations a laissé jusqu’à la fin juin aux dix-huit banques pour identifier les ressources lui revenant de droit. Des centaines de milliards de francs CFA sont en jeu pour les établissements financiers, autour desquels l’étau réglementaire se resserre.