La plus grande entreprise de télévision payante d’Afrique a dit avoir été touchée par les taux de change et par la faiblesse des dépenses de consommation.
Le rapprochement du groupe de Vincent Bolloré et de MultiChoice ainsi que l’arrivée de la TV par Internet s’accompagnent d’une explosion du contenu local, dont tout le monde ne bénéficie pas.
L’accord pour le rachat de MultiChoice par Canal+ devrait se conclure dans les jours qui viennent. Un deal plus complexe que prévu pour les équipes de l’opérateur français.
Huit ans après l’ouverture à la concurrence de la distribution télévisée, le match annoncé entre le français du groupe Vivendi et le géant chinois StarTimes n’a pas réellement bouleversé le marché ivoirien.
Le milliardaire sud-africain et patron du football continental pourrait aider Canal+ à acquérir le leader africain de la TV payante en zone anglophone. Un choix stratégique qui n’est pas sans risque.
Après l’échec d’une première offre le 1er février, Canal+ présente une contre-proposition pour acquérir le géant sud-africain MultiChoice. L’opération apparaît cette fois mieux embarquée.
L’offre publique d’achat du numéro un de la télévision payante en Afrique francophone n’a pas séduit le conseil d’administration du géant sud-africain.
Numéro un du marché francophone de la télévision payante, le groupe contrôlé par le Français Vivendi a lancé une offre pour acquérir le leader en Afrique anglophone, MultiChoice, afin de devenir un acteur mondial de référence.
Incontournable en Afrique de l’Ouest, Canal+ est aussi présent sur le reste du continent, via sa participation majoritaire dans le sud-africain Multichoice. Il s’agit de garder son avance sur la concurrence, de plus en plus vive.
Alors que les tentatives de rapprochement entre Paris et Alger patinent, la langue française risque-t-elle de devenir « lingua non grata » en Algérie au profit de l’anglais ?
« Niabla », la nouvelle série de Canal+ Afrique, signée Alex Ogou, est diffusée depuis le 16 octobre. Au cœur de l’intrigue, prostitution et trafic de drogue à Abidjan.
Après une première mise en garde, le Conseil national de la communication (CNC) du Cameroun somme le groupe Canal+ d’interrompre la diffusion de sa chaîne à destination du public féminin.
Selon une étude du cabinet britannique Kantar, la télévision demeure, et de loin, le média le plus populaire au Maghreb, tandis qu’internet ne cesse de progresser.
Lors d’un entretien avec le chef de l’État ivoirien et le ministre de la Communication et de l’Économie numérique, Amadou Coulibaly, le président de Canal+ International, Jacques Dupuy, a fait part des intentions de son groupe en matière d’investissements, notamment dans le domaine de la production.
L’actrice crève l’écran aux côtés de Stéphane Bak et d’Ahmed Sylla dans « Un petit frère », de Léonor Serraille. Une fresque familiale qui suit la trajectoire d’une mère célibataire ayant quitté la Côte d’Ivoire pour la France, loin des poncifs habituels.
L’armateur italo-suisse a finalisé l’acquisition de la filiale de transports et de logistique du groupe français pour 5,7 milliards d’euros. Ce dernier restera en Afrique, notamment via Canal+ et ses activités médias.
Inspiré par A+ Ivoire, le chef de l’État béninois souhaite créer une nouvelle chaîne avec le groupe Vivendi, qui a fait du développement de contenus locaux l’un des piliers de sa stratégie. Explications.
La cession des activités portuaires marque la prise de pouvoir du fils de Vincent Bolloré, qui centre ses efforts sur le divertissement et la communication tout en s’ouvrant à l’agriculture. Tour d’horizon de la stratégie et des ambitions d’un groupe toujours très présent sur le continent.
Alors que la Côte d’Ivoire doit entièrement basculer vers la télévision numérique terrestre d’ici à la fin de l’année, la compétition fait déjà rage entre les chaînes pour capter le plus de téléspectateurs.
Serge Dergham, patron de Malivision, a saisi l’institution sous-régionale, qui a ouvert une instruction. Il accuse le groupe français de pratiques anticoncurrentielles… Explications.
En lançant un bouquet de chaînes de télévision en langue amharique, la filiale de Vivendi pousse ses concurrents chinois et sud-africain à repenser leur offre pour s’adresser à une cible plus large.
Droits d’auteur piétinés, contenus détournés, chaînes piratées… Les consommateurs y trouvent leur compte, mais la création culturelle peut-elle survivre à ce pillage généralisé ?
L’actrice Annabelle Lengronne, qui citait Assa Traoré comme l’une de ses sources d’inspiration, a été coupée au montage de Ciné le Mag, diffusée sur Canal + Afrique. La présentatrice de l’émission et ses quatre chroniqueurs ont décidé de ne plus participer à l’émission.
Avec Fort Boyard Afrique, Canal+ assaisonne le jeu français à la sauce arachide. La première édition, truffée de stars, est déjà un succès de la rentrée télévisuelle.
Le groupe lancera en novembre deux séries sur le thème de l’amour de vingt épisodes chacune. Il poursuit ainsi sa stratégie de création de programmes destinés à un public africain.
Trublion de la classe politique, ce magnat des médias, inculpé pour fraude fiscale et incarcéré depuis le 23 août, s’est qualifié pour le second tour de l’élection présidentielle. Portrait d’un businessman aussi controversé que populaire.
Production de fictions, distribution de contenus, chaînes de télévision… Le groupe français vient d’annoncer de nouvelles acquisitions au sein du groupe nigérian Iroko, le « Netflix africain », dont il était actionnaire minoritaire depuis 2015.
Développement de la production locale, expansion en Éthiopie, évolution des modes de diffusion… David Mignot, artisan de la croissance du groupe de médias français Canal+ décrypte sa stratégie.
Le développement de l’économie numérique au Bénin est un volet important du plan de développement national. Mais le gouvernement peine à convaincre un acteur de premier ordre d’investir pour briser le duopole MTN-Moov (Maroc Telecom).