Présente sur un marché de niche, l’épicerie française Racines commercialise depuis trois décennies des produits typiques du continent. Pour mieux toucher la diaspora, son cœur de cible, elle a bâti des partenariats avec de grandes enseignes, comme Biocoop et CFAO.
Le partenaire marocain de Carrefour a inauguré le 20 juin le premier magasin français de l’enseigne brésilienne de cash and carry, qu’il porte déjà depuis treize ans dans le royaume.
Portée par le secteur touristique, mais aussi par l’attrait croissant des Dakarois, cette section du littoral sénégalais est pleine de vitalité économique. Une dynamique facilitée par la construction d’infrastructures comme l’autoroute à péage Dakar-Mbour ou encore le TER.
Alors qu’il pâtit déjà d’un contexte difficile, le leader marocain du couscous et de la pâte alimentaire risque de faire les frais d’une nouvelle polémique.
L’enseigne française, qui s’est déjà illustrée au Sénégal par une politique de prix agressive, a inauguré un nouveau concept de « vente en masse » à Mbour.
Le numéro 2 marocain de la grande distribution, qui porte la marque Carrefour dans le royaume ainsi qu’en France, tout en étant concurrent de cette même enseigne en Côte d’Ivoire, détaille ses ambitions, sur son marché domestique et à l’international.
Malgré un contexte difficile, Système U, Auchan ou encore CFAO ont inauguré de nouveaux supermarchés. À l’inverse, Shoprite s’est replié sur son marché et, au Cameroun, Bao attend encore d’être fixé sur son sort.
Depuis quelques semaines, de grands groupes occidentaux soupçonnés de soutenir, directement ou indirectement, l’effort de guerre israélien font l’objet de critiques et d’appels au boycott, notamment dans le royaume chérifien.
Les deux groupes partenaires viennent d’annoncer l’ouverture d’un nouveau Carrefour Market à Douala. Ce magasin rejoint la liste des 29 établissements que compte désormais le tandem au Cameroun, en Côte d’Ivoire et au Sénégal.
Féride et Éric Hassanaly, co-PDG de Talys, accélèrent la diversification du groupe familial en s’appuyant sur de solides partenaires internationaux, dans la distribution comme dans l’hôtellerie.
Malgré la hausse des prix des matières premières, le leader du couscous et des pâtes alimentaires au Maroc est déterminé à renforcer sa productivité et son efficacité commerciale.
Grâce à des partenariats dans la grande distribution et les transports, la start-up d’origine américaine, par ailleurs en discussion avec des assureurs, élargit son offre. Ce qui confirme la compétition à l’œuvre avec les opérateurs télécoms et les banques.
« Les rois du business » (5/5). Avec pléthore de magasins et de centres commerciaux à succès, le groupe ivoirien a marqué son territoire dans le secteur en Afrique subsaharienne francophone.
Second espace de cette ampleur en Afrique centrale après celui de Douala Grand Mall, PlaYce de Yaoundé représente un investissement de 38,1 millions d’euros. Inauguré par Ferninand Ngoh Ngoh, secrétaire général de la présidence, il abrite également le premier hypermarché Carrefour, partenaire du distributeur franco-nippon, du pays.
Séduire les classes moyennes africaines se révèle plus difficile que prévu pour le groupe français CFAO, spécialiste du B to B. Pour parvenir à leurs fins, ses dirigeants et actionnaires ont remis à plat leur stratégie.
Entre ces deux leaders de la grande distribution en Côte d’Ivoire, une véritable guerre froide s’est instaurée, à coup d’opération de com’ et de batailles promotionnelles.
Le fonds d’investissement Actis a annoncé lundi le lancement des travaux de construction du Douala Grand Mall, dans lequel sera installé un supermarché Carrefour, exploité par le groupe franco-japonais CFAO.
Le groupe français, filiale du japonais Toyota, a ouvert son supermarché le 5 décembre dans le quartier résidentiel de Bonamoussadi, dans le nord de Douala. Il compte implanter six centres commerciaux dans le pays à l’horizon 2020, à raison d’un hypermarché et de deux supermarchés à Yaoundé et à Douala.
Changement d’époque ? Alors que ce poids lourd de la production bananière en Afrique est réputé inaccessible, le petit-fils du fondateur de la Compagnie Fruitière a accepté de se confier à Jeune Afrique. Patron du groupe depuis deux ans, il défend une stratégie plus équitable.
Ils sont de plus en plus nombreux à partir travailler de l’autre côté de la frontière. Si Alger est également confronté au chômage, autorités et employeurs apprécient les profils spécialisés du pays voisin.