Cevital est une entreprise algérienne, agissant dans les domaines de l’industrie agroalimentaire et de la grande distribution. Fondée en 1998 par Issaad Rebrab, Cevital est aujourd’hui leader de l’agroalimentaire en Afrique.
Après avoir suspendu les exportations de certains produits, dont le sucre, pendant deux ans, le président Abdelmadjid Tebboune a annoncé leur reprise. Une mesure primordiale pour les acteurs de l’agro-industrie.
Premier groupe privé d’Algérie, le conglomérat familial dirigé par Malik Rebrab s’est associé au géant chinois Haier pour fabriquer et commercialiser ses produits électroménagers depuis la wilaya de Sétif.
Filiale du groupe Madar, l’entreprise spécialisée dans le raffinage de sucre veut développer un projet intégré et maintenir la pression sur le leader algérien.
Aux commandes du premier groupe privé algérien depuis plus d’un an, Malik Rebrab, le fils du fondateur, entend plus que jamais imprimer sa marque. Notamment en clarifiant la structure du conglomérat familial.
Dans quelques années, de nombreuses figures tutélaires de l’industrie vont devoir passer le témoin. Leur apport à l’économie africaine est incontestable. Mais leur départ constitue aussi une formidable chance de renouveau.
Bloqué par les autorités depuis 2017 et relancé en 2022 par le président algérien, le projet d’usine du conglomérat a finalement abouti, quelques jours après l’interdiction prononcée contre Issad Rebrab, l’ancien patron et fondateur du groupe, d’exercer toute fonction commerciale ou de gestion.
Une décision judiciaire met fin à toute intention de rebond du fondateur de Cevital, alors que le groupe doit inaugurer sous peu une usine à Béjaïa, symbole du dégel des tensions avec les autorités algériennes.
La holding dirigée par Charaf-Eddine Amara, ancien patron de la Fédération algérienne de football, crée une société de production et commercialisation de sucre. L’un des créneaux phares du conglomérat de la famille Rebrab.
Aux commandes du groupe familial depuis le départ à la retraite de son père, Issad, en juin 2022, le patron du premier conglomérat privé d’Algérie a réussi à détendre les relations avec les autorités. Il lui reste à imprimer sa marque.
Sucre, huile, dattes, ciment et acier : entre 2019 et 2022, le volume des ventes à l’international – hors secteur pétrogazier – a quadruplé. Alger vise désormais les 10 milliards de dollars annuels pour accélérer la diversification de son économie.
Sur le continent, les dirigeants ne manquent pas de défis à affronter. Mais, avec la crise liée au Covid-19, ils se sont découvert une forte capacité de résilience.
Issad Rebrab laisse à son fils un conglomérat à la diversification mal maîtrisée et aux relations parfois conflictuelles avec le pouvoir. L’héritier incarne une nouvelle approche, faite de diplomatie et d’écoute.
Des changements et potentiellement des tensions se dessinent dans le top management du premier groupe privé algérien, alors que son fondateur et dirigeant historique a annoncé, mi-avril, sa retraite prochaine.
L’interdiction d’exportation du sucre, et bientôt sa possible pénalisation, pourrait porter un coup rude à Cevital, première entreprise privée du pays.
L’espoir renaît pour l’usine de production d’huile du groupe algérien, bloquée depuis 2017 du fait de tensions entre les autorités et le premier groupe privé du pays.
Toujours sous l’emprise des tensions monétaires et du yoyo des matières premières, l’activité des champions du continent a reculé pour la deuxième année consécutive. Les entreprises ouest-africaines s’en sortent plutôt mieux.
Issad Rebrab a été condamné dans la nuit de mardi à mercredi à 18 mois de prison, dont six fermes. Il a été libéré, après huit mois de détention. Le PDG du groupe Cevital, première entreprise privée d’Algérie, était poursuivi pour infractions fiscales, bancaires et douanières.
Depuis la chute du président Abdelaziz Bouteflika, plusieurs des hommes d’affaires les plus puissants du pays font l’objet d’enquêtes pour corruption et sont incarcérés à la prison d’El-Harrach. Chronologie.
Après le rejet dimanche 5 mai de sa demande de libération provisoire, Issad Rebrab, PDG du groupe Cevital, devrait rester encore un mois en détention avant de pouvoir formuler une nouvelle demande de libération.
En plein remodelage du pouvoir, les autorités algériennes ont ouvert des enquêtes sur des faits de corruption. L’annonce a fait l’effet d’un règlement de comptes. Les Tunisiens aussi avaient érigé la lutte contre ce fléau en priorité de leur transition. Mais huit ans après, les avancées sont lentes et la méfiance encore de mise.
Moins de deux ans après sa nomination surprise en janvier 2017, le directeur général exécutif de Cevital, Said Benikene, quitte le premier groupe privé algérien, indique un communiqué interne signé d’Issad Rebrab, PDG et fondateur de l’entreprise.
Si le processus de libéralisation et de pacification lancé par Abiy Ahmed, le nouveau Premier ministre éthiopien, est salué dans l’ensemble de la Corne de l’Afrique, il oblige le pays d’Ismaïl Omar Guelleh à revoir sa stratégie pour ne pas hypothéquer sa croissance future.
Issad Rebrab, le PDG du conglomérat algérien Cevital, a annoncé le 7 novembre l’installation prochaine de trois unités industrielles dans la ville de Charleville-Mézières, dans le nord-est de la France.
Issad Rebrab, président du groupe Cevital et Redha Kouninef, actionnaire majoritaire de KouGC ont tous les deux investi dans la production d’huile. Le bras de fer est engagé et pour le moment, c’est le second qui a une longueur d’avance.
Pour le patron-fondateur de l’un des leaders algériens du jus de fruit, les restrictions à l’importation ont des effets néfastes sur l’activité économique nationale.
Depuis plus d’un an, le premier port kabyle, Béjaïa, est le théâtre d’une bataille féroce entre le groupe Cevital et Djelloul Achour, le PDG de l’Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB).