Avec l’acquisition de Marathon Oil contre plus de 22 milliards de dollars, le pétrolier américain met la main sur des actifs africains, notamment en Guinée équatoriale. Mais il pourrait bien ne pas rester dans la sous-région, dont il s’était retiré en 2016.
Freiné par des reports à répétition, le complexe pétrochimique du tycoon nigérian, inauguré en mai dernier, s’apprête à entrer en service après la réception de la première cargaison de brut.
Engagée dans la défense des droits de l’homme sous la présidence d’Idriss Déby Itno puis sous celle de son fils, Mahamat Idriss Déby Itno, l’avocate réclame l’ouverture d’une enquête internationale sur les événements du 20 octobre 2022.
À deux mois des prochaines élections générales, qui viennent d’être fixées au 24 août prochain, le pays n’a peut-être jamais autant compté de partenaires commerciaux.
Mohamed Arkab a déclaré que la cession des actifs d’Anadarko à Total était incompatible avec la législation algérienne. Il a annoncé par la même occasion que Sonatrach pourrait faire usage de son droit de préemption sur les actifs en question.
Après la naissance en 2006 d’Afriquia Lubrifiants, leur co-entreprise, les deux groupes renouvellent ce partenariat et prévoient des implantations en Afrique francophone. Des discussions sont en cours au Maroc pour des contrats de commercialisation au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
À Abuja, le gouvernement se retrouve tiraillé entre les efforts d’Abubakar Malami, ministre de la Justice, qui veut infliger un redressement de 62 milliards de dollars aux majors pétrolières en vertu d’une loi de 1994, et Timipre Silva, ministre du Pétrole, qui a pour objectif de les pousser à doubler leur production d’ici 2025.
Le ministre algérien des Énergies a prévenu le 26 mai que le droit de préemption d’Alger pourrait être utilisé pour défendre les intérêts nationaux, en empêchant le rachat des actifs algériens d’Anadrako par le français Total… Avant de revenir en partie sur cette déclaration le lendemain.
Le groupe français Total vient de dévoiler un accord lui permettant de contrôler les actifs d’Anadarko en Afrique, si ce dernier choisit d’être racheté par son compatriote américain Occidental Petroleum, face à son concurrent Chevron.
Les grandes manœuvres dans l’industrie pétrolière américaine ont connu une brusque accélération mercredi avec l’offre de rachat d’Anadarko Petroleum, présente dans quatre pays africains et l’un des principaux partenaires de la Sonatrach en Algérie, par Occidental Petroleum. Une mise de 57 milliards de dollars, bien supérieure à celle proposée par Chevron.
Le numéro deux américain du pétrole et du gaz, Chevron, vient d’annoncer une offre de rachat adressée à son compatriote Anadarko. Le groupe renforcerait ainsi sa présence sur le continent africain, notamment en Algérie et au Mozambique.
L’arrivée au pouvoir de João Lourenço a permis à la major française de renforcer ses positions et de multiplier les projets dans le deuxième État pétrolier du continent.
En Afrique de l’Ouest, Wapco – West African Gas Pipeline Company, dont Chevron est le premier actionnaire –, qui pilote le gazoduc reliant le Nigeria au Ghana, a connu bien des péripéties depuis son démarrage en 2007.