Caisses populaires au Burkina, Cofina, Advans, Coris Méso Finance… Un peu partout dans la sous-région émergent des acteurs spécialisés dans le financement de très petits entrepreneurs. Une floraison qui attise la convoitise des banques traditionnelles.
En quinze ans, l’entrepreneur ivoirien a su faire de Bloomfield Investment Corporation une référence dans la sous-région. Sa stratégie fondée sur l’appréciation des risques en monnaies locales est l’une des raisons de sa réussite. Portrait.
Fiscalité courageuse, investissements dans la production d’énergie, financements à un coût raisonnable… Les patrons africains ne manquent pas d’idées pour remporter la bataille de la production et de la transformation locales.
Face au coronavirus, le PDG du groupe de mésofinance plaide pour un appui – temporaire – des pouvoirs publics et des banques centrales, mais croit en la capacité des PME d’Afrique subsaharienne à surmonter la crise.
Sept ans après la création de son groupe, spécialisé dans la mésofinance et déjà présent dans sept pays, le banquier ivoirien s’implante sur de nouveaux marchés.
En moins d’une décennie, Coris Bank s’est développée au Burkina et dans toute l’Afrique de l’Ouest. Souvent critiquée, sa stratégie fondée sur le financement des petites entreprises est-elle précisément la clé de son succès ? Décryptage.