Situation des PME, représentativité de la CGEM, nouveau modèle de développement, politique des grands chantiers… L’économiste et homme d’affaires marocain répond sans langue de bois aux questions de Jeune Afrique.
Frappé par le tremblement de terre le plus puissant de son histoire récente, le royaume panse ses plaies, tout en préparant la reconstruction. Une opération d’envergure qui « prendra du temps et nécessitera des moyens colossaux ».
À Dakhla, les personnalités influentes forment un club très fermé. Pour en faire partie, il faut pouvoir se prévaloir d’une appartenance tribale, ou avoir la bosse du business, ou encore être riche. Portraits.
Comme durant la pandémie, les entreprises sont déjà en ordre de bataille pour organiser l’après-séisme. Une mobilisation générale qui se matérialise d’abord par des dons au profit d’un fonds spécial créé à cet effet.
Dominé par quelques grands acteurs mais fragilisé par une situation de surcapacité, le monde de la minoterie marocaine doit poursuivre sa modernisation, estime Moulay Abdelkader Alaoui, le président de la fédération des meuniers.
Que ce soit sur le volet environnemental ou social, la clé de la réussite de la certification des entreprises sur le continent réside dans la capacité à conjuguer exigences internationales et locales, assure le spécialiste Thierry Téné.
Jusque-là épargnées, les relations entre les patronats des deux pays font désormais les frais de la crise diplomatique entre Rabat et Paris. Les dessous d’un revirement.
Réélu à la tête de la CGEM à l’issue d’une campagne sans concurrent, le dirigeant entend profiter de ses bonnes relations avec Aziz Akhannouch, le chef du gouvernement du royaume, pour obtenir de nouvelles réformes en faveur des entreprises.
En trois ans, le royaume, sous l’impulsion de Mohammed VI, a lancé plusieurs projets ambitieux pour se positionner comme un hub incontournable dans la région. Tour d’horizon des plus emblématiques.
Sans négliger ses relations avec ses partenaires économiques traditionnels, le Maroc a amplifié depuis quelques années ses échanges commerciaux avec d’autres pays. Parmi eux, Israël, l’Inde, la Chine.
Qu’elle soit préparée en amont ou réalisée discrètement à la mort du chef de famille, la succession à la tête de certains groupes a lieu, la plupart du temps, sans anicroche. Plongée dans les coulisses des cas les plus emblématiques du royaume : Akwa Group, Holmarcom, Safari et Diana Holding.
Annoncé par le ministre marocain de l’Industrie et du Commerce Ryad Mezzour, le projet de création d’un constructeur automobile purement marocain suscite des interrogations parmi les acteurs du secteur.
Dans l’agroalimentaire, les mines ou encore la banque, plusieurs opérations stratégiques ont eu lieu en 2022 dans le royaume, menées par les champions nationaux dont Managem, Akwa et Holmarcom.
Zone de libre-échange continentale africaine, contexte post-Covid, business avec Israël et gestion de la succession dans les groupes familiaux… Le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc revient sur les grands enjeux du secteur privé du royaume.
Depuis la crise financière, le royaume chérifien a réorienté sa vision du monde. Rabat, qui cherche à devenir un acteur transcontinental, se tourne de plus en plus vers les économies anglophones.
Responsables politiques, grands patrons, amis de longue date… Le successeur de Salaheddine Mezouar à la tête de la CGEM a pu compter sur un solide réseau pour accompagner les entrepreneurs lors la crise du Covid-19 et surmonter les turbulences au sein du patronat.
Relance verte, défis communs et coopération accrue… Le premier rendez-vous des patrons francophones a rassemblé un demi-millier de dirigeants à Paris. La rencontre devrait être pérennisée, avec peut-être une prochaine édition en Côte d’Ivoire.
Budget de l’État, aides au secteur privé, mais aussi Zlecaf et normalisation avec Israël : à l’occasion du premier anniversaire de son élection à la tête du patronat marocain, Chakib Alj se confie à Jeune Afrique.
Par courriers interposés, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) se sont mutuellement reprochés de ne pas être la « hauteur », alors que la crise sanitaire ébranle le monde des affaires.
Alors qu’une partie de l’industrie marocaine est à l’arrêt du fait du Covid-19, la dernière réunion du Comité de veille économique a mis en place des mesures en faveur des entreprises et des salariés du privé.
Démocratie interne, conjoncture nationale, secteurs en difficulté ou en devenir, relations avec le gouvernement, Zleca… Le nouveau patron de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) fait le point sur son programme et sur les grands défis qui vont jalonner son mandat.
De la déroute des Lions de l’Atlas aux débats sur les libertés individuelles qui ont accompagné la condamnation de la journaliste Hajar Raïssouni, en passant par le remaniement du gouvernement de Saadeddine El Othmani, retour sur cinq temps forts de l’actualité marocaine en 2019.
Même si la campagne électorale n’est toujours pas lancée, les intentions pour briguer le poste de président et de vice-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc sont nombreuses.
Venus à Paris afin de mobiliser les bailleurs pour les Comores, le chef de l’État Azali Assoumani et son gouvernement sont repartis avec 4,3 milliards de dollars de promesses de financement.
Le Maroc est lié à une cinquantaine de pays par des accords de libre-échange, conclus pour la plupart dans les années 2000. De la part de bords différents, leur bilan est contesté, et le ministre de l’Industrie et du Commerce a donc rassuré en déclarant publiquement être prêt à reconsidérer certains accords.
L’organisation patronale devrait élire son nouveau président le 22 janvier prochain. Dans l’attente des élections, Mohamed Bachiri a été choisi pour assurer l’intérim.
Après quelques jours de flottement à la suite de la démission de son président, Salaheddine Mezouar, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a repris les choses en main et commence à préparer son avenir.
Ébranlé par les démissions successives, le président de la CGEM, Salaheddine Mezouar, veut éteindre les polémiques mais dit s’attendre à d’autres départs. Depuis son élection en 2018 à la tête de l’organisation patronale marocaine, les tensions n’ont pas manqué.