Alors que le paiement électronique se développe à grande vitesse, HPS, la société de services informatiques bancaires de l’ex-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), le patronat marocain, connaît un important succès.
Salaheddine Mezouar, le président de la CGEM, a accepté de renoncer à la moitié des membres qu’il avait initialement désignés au conseil d’administration de l’organisation patronale. Les tensions au sein du patronat semblent s’apaiser.
Laaziz El Kadiri, le « Monsieur Afrique » de l’organisation patronale marocaine, prépare actuellement un guide d’investissement qui couvre l’ensemble du continent. Une manière d’encourager les entreprises à dépasser les frontières du royaume.
Figure du patronat marocain et « pro » de la communication, Neila Tazi a aussi lancé le Festival Gnaoua Musiques du monde d’Essaouira, dont la dernière édition, en juin, a fait un tabac.
Salaheddine Mezouar a été élu mardi 22 à la tête de la principale organisation patronale du Maroc, où il succède à Miriem Bensalah Chaqroun pour un mandat de trois ans. Le credo qu’il affiche : mettre son expérience politique au service des patrons et relever le défi de l’emploi.
L’un, Salaheddine Mezouar, est directeur général de Maghreb Industries, l’autre est l’ex président du parti RNI. Et tous deux veulent la présidence de la CGEM.
À moins de trois semaines des élections pour la présidence de la CGEM, les deux binômes ont entamé leur campagne électorale. Une nouveauté dans le royaume : jusque-là, les patrons ont toujours avalisé une candidature unique.
Deux tandems seulement vont donc se disputer le fauteuil de Miriem Bensalah Chaqroun à la tête de la CGEM, le 22 mai. Le dossier de Khalid Dahami et Narjiss Loudiyi a été écarté hier soir par le conseil d’administration de l’organisation patronale marocaine.
La Confédération patronale marocaine, qui publie un rapport choc sur l’ampleur du secteur informel dans le royaume, présente plusieurs pistes pour intégrer ce secteur à l’économie formelle. Synthèse.
Si la candidature de l’ancien ministre et ex-président du RNI est la plus médiatisée, deux autres binômes briguent le siège de Miriem Bensalah Chaqroun.
Endettement, chômage des jeunes, compétitivité des entreprises… JA dresse un bilan de la situation économique du Maroc et avance des pistes pour doper sa croissance.
Le 12 mai, celle qui a été la première femme présidente des chefs d’entreprise marocains quittera un poste qu’elle a profondément marqué de son empreinte.
Elle a été la première femme à devenir présidente de l’organisation patronale marocaine. Le dépôt de candidatures pour la succession de Miriem Bensalah Chaqroun s’ouvre ce lundi. Alors que l’élection du prochain patron des patrons marocains est prévue le 22 mai, les deux mandats de l’administratrice d’Holmarcom laisseront certainement une empreinte.
La CGEM, le syndicat patronal marocain, prévoit une série de rencontres avec ses homologues des principaux pays d’Afrique de l’Ouest. Objectif : défendre le dossier d’adhésion marocaine au groupement régional de la Cedeao.
Une étude publiée par RSF et le site d’informations marocain « Le Desk » révèle l’importante concentration du secteur médiatique marocain. Tour d’horizon.