L’opérateur, condamné à Libreville en 2019 à payer 35 milliards de francs CFA (près de 53,4 millions d’euros) à un ex-prestataire gabonais, qu’il accuse d’escroquerie, attend beaucoup du renvoi de l’affaire devant la Cour commune de justice et d’arbitrage de l’Ohada. Révélations.
Désireux d’attirer les investissements venus de l’étranger, la quasi-totalité des pays du monde ont ratifié des traités reconnaissant ces tribunaux privés, et se plie aujourd’hui à leurs règles… et à leurs arrêts. Le système est pourtant controversé pour ses coûts, son opacité et sa supposée partialité.