Alors que les premières cargaisons de carburant venues d’Abidjan et de Freetown devaient arriver incessament à Conakry, l’économie fait face à une hausse des prix consécutive à la raréfaction de l’essence.
Dans une lettre adressée au Premier ministre guinéen, la Banque mondiale estime que le plan de riposte à la crise sanitaire coronavirus lancé par Conakry surévalue de 45 millions d’euros le coût de l’électricité.