La très grande majorité des cadres dirigeants et du personnel expatrié des groupes pétroliers utilise les lignes régulières des compagnies internationales et de moins en moins les charters privatifs, qui offraient jadis une certaine confidentialité des échanges.
Du fait de la chute des cours du pétrole, d’avions trop gros et de l’absence de partenariats locaux efficaces, la croissance de la compagnie émiratie a ralenti ces deux dernières années. Mais le groupe dubaïote peaufine ses plans pour continuer son expansion.
L’arrivée des appareils de nouvelle génération, l’Airbus A321LR et le Boeing 737 Max, permettront de faire du long-courrier point à point, ce qui pourrait remettre en question le modèle de hub Emirates.
Après avoir connu une croissance fulgurante, la filiale nigériane du géant émirati a été reprise par un consortium de treize banques et renommée 9mobile. Retour sur une chute que personne n’avait vu venir.