Le président sud-africain a présenté son plan de redressement de l’entreprise publique d’électricité. Il souhaite une séparation entre production, transport et distribution au sein d’Eskom.
Le groupe d’experts mandaté par le président Cyril Ramaphosa pour trouver une solution à la crise du géant public de l’électricité, dont la dette abyssale représente un risque pour l’économie nationale, a présenté ses conclusions devant des cadres de l’ANC.
Une commission d’enquête parlementaire juge que le partenariat conclu par McKinsey et Trillian, une société liée à la famille Gupta, constitue une « conduite criminelle ».
Son nom est devenu synonyme de corruption. Depuis des mois, le géant public sud-africain de l’électricité Eskom est déstabilisé par les nombreux scandales éclaboussant le président Jacob Zuma et son entourage, qui mettent en péril sa santé financière.
Dans un communiqué publié ce jeudi, SAP affirme sa volonté de coopérer pleinement avec le Département de la justice et la Commission des opérations en Bourse américaine (SEC), qui ont ouvert une enquête sur de possibles cas de corruption impliquant la division sud-africaine du géant allemand des logiciels de gestion d’entreprise.
L’entreprise publique d’électricité Eskom a demandé aux cabinets de conseil McKinsey et Trillian de lui rembourser 1,6 milliard de rand (117 millions de dollars), après qu’une enquête interne a conclu que la décision de la compagnie publique d’électricité de payer cette somme était illégale.
Jeune Afrique publie son hors-série annuel sur les grandes entreprises africaines. Et constate, pour la troisième année consécutive, que leurs revenus sont en baisse.
L’électricien public a su consolider sa production conventionnelle, mais reste peu innovant dans sa stratégie et peine à prendre le virage du renouvelable.
La justice sud-africaine a autorisé jeudi la compagnie nationale d’électricité Eskom à couper l’électricité de municipalités qui avaient accumulé l’équivalent de quelque 500 millions d’euros de factures non payées.
La compagnie nationale électrique de l’Afrique du Sud a signé un accord de prêt de 500 millions de dollars avec China Developement Bank. C’est le premier financement de ce type accordé au groupe sud-africain par l’institution bancaire chinoise.
La grève de milliers d’ouvriers sud-africains dans les centrales électriques du fournisseur public Eskom s’est terminée vendredi après deux jours de débrayage, suite à un accord trouvé avec l’employeur sur une hausse des salaires, a annoncé l’un des principaux syndicats du pays.
Des milliers d’ouvriers ont démarré mercredi une grève dans les centrales électriques du fournisseur public Eskom, pour demander une hausse de leurs salaires, défiant une décision de justice qui avait interdit ce débrayage, a indiqué l’un des principaux syndicats du pays.
Eskom, la compagnie nationale d’électricité de l’Afrique du Sud, a annoncé jeudi avoir obtenu un financement de 375 millions de dollars auprès de la Banque africaine de développement (BAD). L’institution panafricaine a également été désignée comme arrangeur d’une levée de fonds de 965 millions de dollars.
Après Moody’s début mai, c’est au tour de Standard & Poor’s (S&P) de maintenir la note souveraine sud-africaine dans la catégorie « investissement », tout en conservant une perspective négative du fait notamment d’une croissance encore revue à la baisse.
Proches de Jacob Zuma et à la tête d’un véritable empire industriel, les Gupta sont soupçonnés d’avoir orchestré en lieu et place du président sud-africain la nomination des membres de son cabinet. Depuis plusieurs jours, ils défraient la chronique au rythme des révélations qui se succèdent.
Un appel d’offres remporté en Afrique du Sud par le géant français du nucléaire a été annulé par la justice. Un coup dur pour Areva, qui avait fait de ce contrat le symbole de sa renaissance à l’international.
Standard & Poor’s fait passer les perspectives du pays de stables à négatives, alors que son homologue Fitch dégrade la note qu’elle accorde à l’État, placée désormais juste au-dessus de la catégorie spéculative.
Plus de 30 000 mineurs sud-africains se sont mis en grève illimitée dimanche, après l’échec des négociations sur les salaires dans l’industrie du charbon.
Le président sud-africain Jacob Zuma a inauguré le 30 août la première unité d’une super-centrale à charbon, d’une capacité à terme prévue à 4 800 mégawatts, dans le nord du pays.
Optimum, filiale de Glencore, qui fournit Eskom en charbon a décidé de suspendre l’accord de livraison conclu avec la compagnie nationale d’électricité sud-africaine. Cette dernière entend coûte que coûte obtenir une indemnisation.
La compagnie nationale d’électricité sud-africaine Eskom en grande difficulté financière a annoncé mardi que ses bénéfices avaient chuté de 49 % sur ces douze derniers mois, alors que l’économie du pays est minée par les régulières coupures de courant qu’elle impose.
Pour renfoncer les finances de la compagnie nationale d’électricité Eskom, l’État sud-africain a cédé ses parts dans l’opérateur télécoms Vodacom Group. L’acquéreur est Public Investment Corporation, gestionnaire des fonds de pension des fonctionnaires.
Le dirigeant du groupe de logistique Transnet devient directeur général de l’entreprise publique d’électricité sud-africaine. Il remplace Tshediso Matona, suspendu de ses fonctions en même temps que trois autres directeurs, en mars.
La crise n’en finit pas à Eskom, l’entreprise publique d’électricité sud-africaine. Après le départ de quatre cadres le mois dernier, dont le directeur général, c’est au tour du président du conseil d’administration, Zola Tsotsi, de démissionner.
Pour le gouvernement sud-africain, le désengagement des multinationales ouvre une voie royale à un futur géant local. Mais les groupes du pays ont-ils les épaules assez larges ?
Malgré les effets sur l’environnement, Pretoria continue de privilégier ce combustible pour sa production d’électricité. Un choix qui encourage l’exploitation de nouveaux gisements.
Le géant électrique sud-africain Eskom veut augmenter ses tarifs de 146%, soit en une seule fois ou bien progressivement sur une période de trois ans, a annoncé mardi cette entreprise publique.