À 79 ans, l’ancien PDG d’Ethiopian Airlines a été rappelé à la présidence du conseil d’administration du groupe dont il a porté l’ambitieux développement au début des années 2000.
Malgré les dégâts considérables causés par la crise sanitaire, un contexte international troublé et la toujours possible résurgence du Covid-19, le ciel africain semble s’éclaircir enfin.
Fort de trente-huit ans de carrière au sein du premier groupe aérien du continent, le successeur de Tewolde GebreMariam est jugé efficace et méticuleux.
Face à Félix Tshisekedi, le ministre des Transports, Chérubin Okende, et le chef du gouvernement, Sama Lukonde Kyenge, défendent deux visions différentes quant au futur de Congo Airways.
Après trente-sept ans de carrière au sein de la première compagnie aérienne du continent, dont onze ans à sa tête, Tewolde GebreMariam quitte ses fonctions pour raisons de santé.
Les avions de ce modèle ont retrouvé le ciel africain, y compris ceux que fait voler la compagnie nationale éthiopienne, mais les familles des victimes du crash du vol ET 302, survenu le 10 mars 2019, ne voient pas forcément ce retour d’un bon œil.
À court de liquidités en raison de la guerre dans le Tigré, l’Éthiopie ouvre son économie aux investisseurs étrangers pour relancer sa croissance. Son nouveau fonds souverain les séduira-t-il ?
Malgré les difficultés actuelles du secteur aérien, le géant américain table sur une hausse de la flotte africaine de 3,6 % par an sur les vingt prochaines années, soit un potentiel de ventes de 400 milliards de dollars.
Grâce au fret et à son inventivité, la première compagnie du continent, forte de son positionnement sur le couloir entre Asie et Afrique, a enregistré des bénéfices en 2020.
Alors que Rwandair ou Asky désertent le tarmac de Johannesburg, la compagnie ivoirienne lorgne la destination. Un projet qui pourrait bien être contrarié par la situation sanitaire.
Présidente de l’Association africaine de droit aérien et spatial, Arlette Tanga revient pour Jeune Afrique sur les mesures de bannissement qui ont déjà frappé à plusieurs reprises les compagnies du continent.
Près de deux ans après la catastrophe qui a fait 157 morts en Éthiopie, le constructeur américain a reconnu sa responsabilité et s’est engagé à verser 2,5 milliards de dollars pour mettre un terme à une partie des poursuites.
Malgré l’annus horribilis que le Covid-19 a infligée aux compagnies aériennes du monde entier, les transporteurs du continent ont déployé des efforts colossaux pour survivre. Zoom sur quelques-unes de ces stratégies d’adaptation.
Symbole de modernisation économique, le processus d’ouverture du capital d’Ethiopian Airlines – annoncé en 2018 – a été « suspendu » par les autorités. Explications.
Informations critiques cachées aux pilotes, conflits d’intérêt avec le régulateur américain… Le rapport final du Congrès épingle une nouvelle fois le constructeur.
La principale compagnie du continent négocie avec Pretoria en vue d’une éventuelle prise de participation dans le pavillon national sud-africain. La dernière chance de lui éviter la faillite ?
Alors que la réouverture des frontières aériennes se profile, de nombreuses incertitudes demeurent sur le retour à la normale du trafic. Jeune Afrique fait le point.
Futur aéroport d’Addis-Abeba, extension de la flotte et du réseau, diversification… Malgré la crise, le patron de la première compagnie du continent maintient le cap sur ses objectifs et, fort de liens toujours plus privilégiés avec la Chine, affiche de grandes ambitions.
Pour Tewolde GebreMariam, le DG d’Ethiopian Airlines, les conséquences de la crise sanitaire du Covid-19 sur le secteur du transport aérien vont au-delà de « ce qu’on pouvait imaginer ». Aujourd’hui, la première compagnie africaine « lutte pour sa survie ».
La première compagnie aérienne d’Afrique a déjà perdu un demi-milliard de dollars et fermé la plupart de ses lignes passagers depuis le début de la pandémie de Covid-19. Pour atténuer cet impact, elle se tourne vers les vols charter et fret, a annoncé mardi son PDG, Tewolde Gebremariam.
Très critiqué pour avoir maintenu ses liaisons avec la Chine au plus fort de la pandémie, Ethiopian Airlines a tenu bon et assure actuellement ses vols vers et au départ de l’Europe, nouvel épicentre du coronavirus. Ce qui fait d’elle l’une des dernières compagnies à assurer des liaisons intercontinentales.
Alors que tous les opérateurs africains ont suspendu leurs lignes en provenance et à destination de la Chine, Ethiopian Airlines a choisi de maintenir ses dessertes.
Royal Air Maroc, RwandAir, Kenya Airways,… les compagnies aériennes africaines qui desservent la Chine, en proie à une épidémie de coronavirus, ont décidé de suspendre leurs liaisons. Pour l’heure, seule Ethiopian Airlines a choisi de maintenir ses vols, cependant qu’Air Algérie a finalement pris la décision, quelques jours après, de mettre un terme provisoire aux dessertes.
La compagnie aérienne Ethiopian Airlines, détenue à 100 % par l’État, projette de construire un nouvel aéroport plus adapté à ses ambitions mondiales. Son directeur général, Tewolde GebreMariam, prévoit une capacité de 100 millions de passagers.
Il y a un an, Tewolde GebreMariam, directeur général d’Ethiopian Airlines, nous confiait son ambition de faire de sa compagnie un « super-connecteur mondial ». Le crash de son Boeing 737 Max, survenu en mars 2019, a durement affecté le transporteur mais n’a pas brisé son élan.
Quelles ont été les compagnies aériennes les plus performantes dans l’année écoulée ? Jeune Afrique s’est penché sur la dernière étude publiée par OAG (Official Airline Guide), pour déterminer qui sont les bons et les mauvais élèves du continent en matière de ponctualité.
Préparant son arrivée à Paris en 2020, la compagnie, sous l’impulsion de sa directrice générale, mène une politique offensive pour conquérir des parts de marché jusqu’en Afrique centrale.