La Gécamines, compagnie minière nationale de la République démocratique du Congo (RDC), planche sur la création d’une co-entreprise avec le groupe China Nonferrous Metal Mining (CNMC), pour le développement du gisement de cuivre de Deziwa. Dans le cadre de cette co-entreprise, deux usines de transformation de cuivre devraient être créées.
Alors que l’état des finances de la Gécamines continue à inquiéter, le cabinet de conseil Alandia a déclenché en janvier, en Europe, plusieurs procédures contre la compagnie minière congolaise détenue à 100 % par l’État, avec l’assistance du cabinet White & Case.
Selon la compagnie minière congolaise cette cession était justifiée en raison du montant trop élevé des coûts de transport nécessaires pour le traitement des minerais extraits de ces sites.
Scandale de surfacturation, ingérence de l’État, explosion des coûts… Rien ne va plus à la Gécamines, la grande entreprise minière publique du Katanga, qui attend la nomination d’un nouveau dirigeant.
Le groupe minier australien Tiger Resources Limited devrait mobiliser 110 millions de dollars pour finaliser le rachat des parts (40 %) de la Gécamines dans le projet de Kipoi, en RD Congo.
Ahmed Kalej Nkand a été démis de son poste d’administrateur directeur général de la Gécamines, en RD Congo, en raison « de manquements graves dans l’exercice de ses fonctions », selon une ordonnance présidentielle en date du 26 juillet 2014.
Le fondateur de Rosen Partners LLC entre au conseil d’administration de l’entreprise publique congolaise (RDC). Il est aussi conseiller d’Altimo, principal actionnaire du groupe Vimpelcom, et préside le Congrès juif américain.
Après avoir annoncé son intention de céder ses parts dans la mine de cuivre de Kamoto, la Gécamines confirme avoir lancé un appel d’offres, mais précise… pouvoir toujours revenir sur sa décision.
Le groupe minier australo-chinois MMG a cédé ses parts de la mine de cuivre de Mutoshi, en RD Congo, à la Gécamines, la compagnie minière publique du pays.
L’enjeu est de taille. Le groupe minier et la Société nationale d’électricité se disputent la propriété des quatre plus importantes centrales de la région.
La compagnie minière nationale congolaise cherche à financer son ambitieux plan de développement. De retour d’un voyage en Chine, son patron Albert Yuma compte manifestement sur l’Empire du milieu pour l’aider à boucler son financement.
La Gécamines, ancien fleuron du cuivre en RD Congo, envisage de construire une usine d’un coût de 1,5 milliard de dollars destiné à traiter la production de deux mines de cuivre estimée à 5 millions de tonnes de minerai.
La société minière congolaise Gécamines vient de racheter auprès du groupe belge George Forrest International les 60% de la Compagnie minière du Sud-Katanga, une coentreprise dont elle détient les 40% restants.
À 56 ans, Albert Yuma Mulimbi est président de la Fédération des entreprises du Congo (FEC) et président du conseil d’administration de la Générale des carrières et des mines (Gécamines).
Le Katangais Albert Yuma Mulimbi, 55 ans, achève en ce mois de décembre sa première année à la tête de la Générale des carrières et des mines (Gécamines) en tant que président du conseil d’administration. Une année très intense pour cet homme d’affaires venu du privé qui a pour mission de remettre à flot le navire amiral de l’économie de la RDC.
Contrats renégociés, réorganisation en profondeur, changement de statut et de direction… En 2011, l’ex-société publique prend un nouveau départ, mais est loin d’avoir tous les atouts en main.