Groupe Bolloré est un groupe industriel français, détenu par Vincent Bolloré. L’entreprise familiale de transport et de logistique fondée en 1822 développe aujourd’hui ses activités dans divers domaines, tels que l’énergie, la communication et les médias, l’industrie ou encore l’agriculture.
Depuis la catastrophe ferroviaire à Éséka, au Cameroun, sur la ligne Douala-Yaoundé, exploitée par Camrail, filiale de Bolloré Transport & Logistics, le groupe insiste avoir fait de l’indemnisation des victimes une priorité.
Menaces sécuritaires, infrastructures insuffisantes et contrôles intempestifs entravent la circulation à travers le Cameroun, notamment en direction du Tchad et de la Centrafrique.
À l’arrêt depuis 2015, le projet ferroviaire Cotonou-Parakou-Dosso-Niamey, estimé à 1,2 milliard d’euros lorsqu’il a été porté sur les fonts baptismaux, en 2008, est toujours en stand-by.
Le Port autonome d’Abidjan veut rattraper son retard pour rester compétitif face à ses concurrents du golfe de Guinée, qui se sont déjà modernisés et agrandis, comme Tema, Lomé, ou même Kribi.
Le nouveau terminal à conteneurs du port ghanéen, dont le coût est estimé à 1 milliard d’euros, lancera ses activités en juin. La concurrence s’intensifie dans le golfe de Guinée.
À 33 ans, le troisième fils de Vincent Bolloré prend la place de son père à la tête du groupe. Cette nomination à l’unanimité intervient moins d’un an après celle de Yannick Bolloré à la tête du conseil de surveillance de Vivendi.
Le groupe français Bolloré va perdre fin 2019 la concession du terminal à conteneurs du port de Douala (Cameroun), le plus grand port d’Afrique centrale, après quinze ans d’exploitation, selon un communiqué de ce port obtenu le 9 janvier par l’AFP.
Mercredi 12 décembre, le holding Bolloré SA a été mis en examen. Une procédure « purement mécanique », sept mois après la mise en examen de deux dirigeants du groupe, précise un communiqué de la société.
Le groupe français a mis en place en début d’année une offre de barges sur la lagune de Lagos, afin de décongestionner son terminal. La méthode s’avérant payante, il cherche désormais à la dupliquer, notamment à Abidjan, où la problématique est similaire.
La note pourrait être salée pour Bolloré Transport & Logistics. L’Office des ports et rades du Gabon, dirigé par Sayid Abeloko, réclame au groupe 12 millions d’euros, au titre de diverses taxes non encore perçues. Une rencontre est prévue d’ici peu avec Philippe Labonne, directeur général adjoint de BTL.
De la réorganisation des activités du groupe au partenariat noué avec le chinois Alibaba, le dirigeant revient sur les grands dossiers du moment et détaille la stratégie mise en œuvre en Afrique.
Jusque-là resté confidentiel, un courrier daté de 2008 et adressé par la présidence guinéenne au ministère des Transports soulignait des « insuffisances » dans le contrat de concession signé avec l’opérateur portuaire français Getma.
Vincent Bolloré, Gilles Alix, directeur général du groupe Bolloré depuis 2006, et Jean-Philippe Dorent, responsable du pôle international de Havas, ont été placés en garde à vue, ce mardi 24 avril, dans le cadre d’une information judiciaire portant notamment sur des soupçons de « corruption d’agents publics étrangers » dans le cadre de l’obtention de terminaux à conteneurs sur les ports de Lomé et Conakry, en 2009 et 2010.
Ancien de Bolloré, le fondateur de Lafont Africa Corporation reste convaincu que c’est en Afrique francophone que se trouvent les meilleures opportunités économiques.
Eiffage, le géant français de la construction, construira pour Bolloré la plate-forme portuaire de Tema, au Ghana. Le contrat, d’un montant de 104 millions de dollars, a été signé le 30 octobre.
Il y a un an, le train Yaoundé-Douala déraillait à hauteur d’Eseka, faisant officiellement 79 morts et plus de 600 blessés. Douze mois plus tard, les procédures judiciaires n’ont apporté que peu de réponses aux familles des victimes, dont certaines cherchent toujours des proches disparus.
Principal initiateur de la rénovation du port d’Owendo, Gagan Gupta, président d’Olam Gabon, revient pour Jeune Afrique sur la manière dont son groupe et le groupe Bolloré ont fini par trouver un accord dans le litige qui les opposaient. Il expose également ses attentes en termes de résultats pour ce nouvel outil.
En visite de travail à Paris, le président béninois n’a pu s’entretenir ni avec son homologue français, ni avec le président du Medef, contrairement à ce qu’il espérait avant de s’envoler vers la France.
Le chemin de fer exploité par les deux voisins depuis 1959 est obsolète. Si un projet de reconstruction existe, ils ont du mal à s’entendre sur le choix du partenaire stratégique.
Un train de la compagnie camerounaise Camrail, filiale du groupe Bolloré, composé de quatorze wagons-citernes, a déraillé dans l’après-midi du mercredi 26 juillet, non loin de la ville d’Edéa, dans la région du Littoral.
Le directeur de Greenpeace France a été convoqué, mercredi dernier, devant le tribunal de grande instance de Paris à la suite d’une plainte en diffamation déposée par l’entreprise de plantation Socfin.
Une instruction a été ouverte le 13 mars en France au sujet de la catastrophe ferroviaire d’Eseka, après une plainte déposée contre X pour tentative de meurtre. La justice française devrait également se pencher sur les conditions de l’attribution de la concession de l’activité des chemins de fer camerounais à Camrail, filiale du groupe Bolloré.
Un train affecté aux travaux de renouvellement de la voie ferrée a heurté trois personnes ce mercredi soir à Yaoundé, d’après un communiqué publié par la société Camrail sur sa page Facebook.
Quasi absentes des projets d’infrastructures du pays il y a quelques années, les entreprises hexagonales reviennent à la faveur du plan d’émergence national. Une tendance de fond ?
Le Syndicat professionnel des conducteurs de train du Cameroun et le Comité de libération des prisonniers politiques ont déposé ce vendredi deux nouvelles plaintes, avec constitution de partie civile, au nom des victimes de la catastrophe ferroviaire d’Eseka.
Le parquet de Nanterre, saisi d’une plainte mettant notamment en cause Camrail, filiale camerounaise du groupe Bolloré, après la catastrophe ferroviaire d’Eseka au Cameroun en octobre, s’est déclaré « incompétent » pour mener l’enquête, a-t-on appris ce vendredi.
Le 21 octobre, la catastrophe ferroviaire d’Eseka, au Cameroun, faisait 79 morts selon le bilan officiel. Depuis, certaines victimes se sont regroupées en collectifs visant à comprendre les causes du drame et à obtenir des indemnisations. Ils ont notamment lancé plusieurs procédures en Europe avec, en ligne de mire, les groupes Bolloré, Total et leurs potentiels assureurs.
Une plainte contre X a été déposée en France auprès du parquet de Nanterre après la catastrophe ferroviaire meurtrière survenue le 21 octobre à Eseka au Cameroun. Selon les deux organisations plaignantes, qui se sont exprimées jeudi, cette plainte met notamment en cause Camrail, filiale camerounaise du groupe Bolloré.