Groupe Bolloré est un groupe industriel français, détenu par Vincent Bolloré. L’entreprise familiale de transport et de logistique fondée en 1822 développe aujourd’hui ses activités dans divers domaines, tels que l’énergie, la communication et les médias, l’industrie ou encore l’agriculture.
Son groupe, Petrolin, s’était positionné pour développer le chemin de fer Cotonou-Niamey. Puis le géant français est arrivé avec son projet de « boucle ferroviaire ouest-africaine »… Écarté, l’homme d’affaires bénino-gabonais entend aujourd’hui recouvrer ses « droits ». « Jeune Afrique » l’a rencontré.
Le groupe français avait repris les chemins de fer, mais la justice a donné raison en appel à son rival béninois, Petrolin. Et ordonné la suspension des travaux.
L’industriel français a accordé une interview au magazine français « Challenges ». Démentant l’existence d’un projet d’introduction en Bourse, il annonce que le groupe financera le projet sur fonds propres et maintient sa détermination à le reprendre une fois les procédures judiciaires terminées.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Samuel Dossou-Aworé, patron du groupe Petrolin.
La coopération économique et financière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso est encadrée par le Traité d’amitié et de coopération signé en 2009. Une idée qui a germé après la signature des accords de Ouagadougou en 2007 et surtout après la visite de Laurent Gbagbo dans la capitale burkinabè en 2008. La valeur des échanges commerciaux entre les deux pays est passée de 165 milliards de F CFA en 2011 à environ 290 milliards en 2014 (de 250 millions à plus de 440 millions d’euros). Le Burkina Faso est ainsi le sixième État client de la Côte d’Ivoire au niveau mondial.
La justice béninoise a ordonné l’arrêt des travaux du chemin de fer ouest-africain réalisé par Bolloré et une procédure arbitrale internationale a été lancée. Derrière cette offensive, deux groupes qui s’estiment lésés.
Administrateur délégué de la banque Martin Maurel Sella, Frédéric Geerts livre sa vision du continent. Et rêve d’un plan concerté européen qui soutienne ses grands projets.
Crise des vocations, offre pédagogique mal adaptée … L’Afrique ne produit pas assez d’ingénieurs, au risque de ralentir son développement économique. Focus sur les trop rares établissements de bon niveau de la zone francophone. Le cas du Cameroun.
Selon des informations de Challenges, confirmées par Reuters, la société française Geftarail demande à la Cour internationale d’arbitrage l’arrêt des travaux lancés sur le tronçon Cotonou-Niamey de la boucle ferroviaire que construit le groupe Bolloré depuis 2014.
Contournement nord de la capitale, autoroute Ouaga-Abidjan, boucle ferroviaire… Les projets du secteur des transports sont en suspens. Sauf celui du nouvel aéroport de Donsin.
Vincent Bolloré aurait mandaté des banques pour travailler sur une introduction en Bourse de son projet de réseau ferroviaire en Afrique, connu sous le nom de Blueline, ont dit à « Reuters » trois sources proches du dossier.
En Afrique, on le connaît davantage à travers le groupe Bolloré, ses
ports et ses rails. Mais en tant que patron de Vivendi, l’entrepreneur français lorgne aussi l’industrie culturelle. Première étape : Conakry.
Bolloré Africa Logistics a signé mercredi 16 septembre un avenant au contrat de concession du terminal à conteneurs de Freetown. L’accord prévoit un projet d’extension et la mise en place de nouveaux équipements.
Avec l’acquisition de six nouvelles locomotives, Bolloré, la Côte d’Ivoire et le Burkina ont (enfin) débuté le 9 septembre la réhabilitation de la voie ferrée Abidjan-Ouagadougou. Les travaux dureront cinq ans pour multiplier par cinq le fret transporté.
Dans un entretien accordé au journal « Le Monde », l’ancien Premier ministre français dénonce la mise à l’écart d’Africarail du projet de boucle ferroviaire Cotonou-Abidjan, que construit le groupe Bolloré en Afrique de l’Ouest.
Une soixantaine de véhicules électriques de la gamme de solutions énergétiques développés par Bolloré sont déployés à Brazzaville dans le cadre des Jeux africains. L’occasion pour le groupe français de faire davantage connaître ces solutions.
Adjudicataire de la concession d’exploitation du terminal à conteneurs du port de Kribi au Cameroun, en consortium avec son compatriote CMA CGM et le chinois CHEC, le groupe français Bolloré compte y installer un deuxième quai d’ici à cinq ans.
Le consortium Bolloré/CMA CGM/CHEC remporte l’appel d’offres pour la gestion du terminal à conteneurs du port de Kribi au Cameroun, tandis que l’exploitation du terminal polyvalent revient au groupement Necotrans/KPMO, a appris en exclusivité « Jeune Afrique ».
Les gouvernements du Niger et du Bénin ont signé à Niamey les conventions de concession d’exploitation et de construction des infrastructures du chemin de fer Niamey-Cotonou par le groupe français Bolloré.
En visite à Paris du 22 au 26 juin « pour resserrer les liens avec le secteur privé français », Vishnu Lutchmeenaraidoo, le ministre mauricien des Finances, a multiplié les rendez-vous avec les entreprises françaises.
APM Terminals et Bolloré Africa Logistics vont investir 1,5 milliard de dollars dans le port de Tema au Ghana. Une zone stratégique où s’opèrent 70 % des échanges commerciaux du pays.
Deux ans après avoir raflé le deuxième terminal à conteneurs du port d’Abidjan, le groupe français double la concurrence et décroche le futur chemin de fer reliant Lomé à Abidjan. Récit du casse du siècle.
Le groupe français Bolloré va investir environ 1 milliard d’euros dans la réalisation de la ligne de chemin de fer reliant Niamey, la capitale du Niger, au port de Cotonou (Bénin) a indiqué l’agence « Reuters ».
Le patron du groupe français Bolloré, partenaire de l’Etat pour la réalisation de la ligne ferroviaire Niamey-Cotonou, a récemment été reçu avec les honneurs par le président Mahamadou Issoufou dans la capitale nigérienne.