Après avoir remplacé la plupart des dirigeants des groupes publics, le chef de l’État sénégalais a pris une décision marquante concernant les contrats signés sous Macky Sall, en dénonçant un important accord avec le groupe saoudien Acwa Power. D’autres pourraient suivre. État des lieux.
Avec l’acquisition de la filiale marocaine du britannique Sound Energy pour 45,2 millions de dollars, le géant minier veut se diversifier en créant un pôle pour le gaz naturel industriel.
Après avoir fait carrière dans l’Hexagone et en Afrique subsaharienne, ce féru de mathématiques a réussi à donner une nouvelle envergure au géant minier marocain. Plongée dans son parcours et ses relations.
Après une baisse de régime en 2023, le groupe minier poursuit ses projets d’envergure au Maroc et au Sud du Sahara pour concrétiser son ambition : devenir un champion régional diversifié.
Plombé par des projets soudanais à l’arrêt et des cours des matériaux majoritairement en berne (cobalt, zinc, cuivre…), le géant minier marocain a vu son chiffre d’affaires semestriel chuter de 23 %.
Pour alimenter le marché des batteries pour véhicules électriques, le groupe minier prévoit de construire une usine de traitement du sulfate de cobalt à l’horizon 2025.
En trois mois, plusieurs grands groupes chinois ont annoncé leur intention de s’implanter au Maroc pour y produire des batteries électriques. Si le royaume dispose de nombreux atouts sur ce filon d’avenir, des experts mettent en garde contre « les effets d’annonces ».
Hausse de la production de manganèse, relance du mégagisement de fer de Belinga, interdiction d’exporter l’or brut… Les revenus du sous-sol gabonais ont de quoi compenser le déclin des hydrocarbures. Mais les obstacles sont encore nombreux pour qu’ils soient mieux valorisés.
Le conflit armé qui frappe le Soudan à des incidences multiples. Si tous les secteurs sont touchés, l’importance des répercutions dépend notamment de la proximité des activités avec la capitale Khartoum.
Pan prioritaire du Plan Sénégal Émergent, l’activité minière doit devenir l’un des moteurs de l’économie nationale. Le gouvernement, qui ambitionne de faire du pays le centre névralgique de l’industrie en Afrique de l’Ouest, se donne de vastes moyens et a lancé mi-février une mission d’évaluation ciblée du secteur.
Sidérurgie, mines et même outsourcing ont permis aux groupes nord-africains d’enregistrer de belles performances dans notre classement régional des 500 Champions africains 2023.
Après avoir lancé sa mine d’or en Guinée, le groupe marocain a racheté plusieurs projets aurifères en Afrique de l’Ouest, avec pour objectif de doubler sa production dans les prochaines années. Décryptage.
Dans l’agroalimentaire, les mines ou encore la banque, plusieurs opérations stratégiques ont eu lieu en 2022 dans le royaume, menées par les champions nationaux dont Managem, Akwa et Holmarcom.
Pour accélérer le développement de son activité aurifère, la minière chérifienne va faire l’acquisition de trois gisements d’or au Sénégal, au Mali et en Guinée. Les détails d’un deal d’ampleur.
Si le bilan de la place marocaine n’est pas aussi sombre que d’aucuns auraient pu le craindre, Casa le doit à une poignée d’entreprises qui ont tiré vers le haut l’ensemble de la cote.
En signant avec Apollo Minerals et Trek Metals pour la prospection de zinc et de plomb, le Gabon cherche à renforcer son secteur minier, aujourd’hui dominé par le manganèse.
Transformé il y a cinq ans en fonds panafricain, Al Mada a multiplié les mégadeals sur le continent, où il réalise désormais plus d’un quart de ses bénéfices. Au siège de Casablanca, on l’assure : le meilleur reste à venir…
Managem, filiale du holding royal marocain Al Mada compte lever plus de 150 millions de dollars pour renforcer sa présence dans l’industrie aurifère au sud du Sahara, avec son mégaprojet de Tri-K en Guinée, mais aussi au Soudan et au Gabon.
Portée par les très bons cours du cobalt, la filiale du holding royal SNI entend diversifier ses projets à l’international. Ce qui lui demande d’accroître ses investissements et de trouver des partenaires.
Le groupe minier, opérant au Maroc et en Afrique, a été touché de plein fouet par le recul des prix des minerais. Les cours sur les marché mondiaux ont néanmoins tendance à se redresser au deuxième semestre et la découverte de nouveaux gisements permettrait à la production de suivre la cadence.
Managem vient d’annoncer l’arrêt de ses activités d’extraction d’or sur le site minier d’Akka, au sud-ouest d’Agadir. Le groupe minier souhaite recentrer ses opérations marocaines sur l’exploitation du cuivre.
Le groupe minier marocain Managem a enregistré en 2013 une hausse de 40% de son bénéfice net à 405 millions de dirhams (environ 36 millions d’euros) rapporte l’agence « Reuters ».
Managem, filiale minière du holding royal d’investissements marocain SNI, vient d’inaugurer une mine d’or au Soudan. Des doutes subsistent quant au véritable potentiel du projet.
Le groupe veut diminuer sa dépendance aux métaux de base. Pour ce faire, il investit dans sa mine d’argent d’Imiter et multiplie les projets hors du royaume, notamment dans l’or.
Après deux bonnes années boursières, le groupe marocain Managem devrait afficher de moins belles performances en 2012. Sa volonté de rééquilibrer la structure de ses revenus continue toutefois à séduire les analystes.
Coté depuis 2000, le groupe minier marocain prépare la première augmentation de capital de son histoire. Celle-ci doit contribuer à financer des projets d’investissements, notamment au sud du Sahara.
Le groupe minier Managem, filiale à 81,6 % de SNI, va réaliser sa première augmentation de capital à la Bourse de Casablanca, qui vient d’autoriser l’opération. Réservée à ses seuls salariés et actionnaires, l’opération doit permettre à l’entreprise marocaine de lever un montant maximum de 78 millions d’euros. Cette somme lui permettra d’appuyer son plan d’investissement de 450 millions d’euros en trois ans, alors que ses bénéfices devraient s’établir à 300 millions d’euros, soit 18 % de plus qu’en 2010.