Présente sur un marché de niche, l’épicerie française Racines commercialise depuis trois décennies des produits typiques du continent. Pour mieux toucher la diaspora, son cœur de cible, elle a bâti des partenariats avec de grandes enseignes, comme Biocoop et CFAO.
L’association des producteurs d’alcool camerounais a écrit au Premier ministre pour demander une augmentation des prix des boissons de 50 francs CFA. Le ministre du Commerce exige, lui, le blocage des prix en attendant les orientations du ministre des Finances relatives à l’exécution du budget 2024.
Diageo, le géant anglais des boissons alcoolisées qui réalise 13 % de son chiffre d’affaires en Afrique, prévoit d’investir 196 millions d’euros pour rendre onze de ses brasseries plus écologiques.
En dépit d’une augmentation des prix consentie par Yaoundé, l’industrie brassicole camerounaise se plaint d’être depuis quatre ans une vache à lait pour l’administration fiscale et demande une pause.
Le ministre camerounais du Commerce vient de suspendre les mesures prises les 1er et 4 mars par les trois brasseurs nationaux et dénonce la « précipitation » avec laquelle ces derniers ont agi, sans son approbation.
Les trois producteurs locaux, SABC, UCB et Guinness Cameroon, ont décidé d’augmenter le prix de leurs bouteilles de 50 francs CFA, en réponse à nouvelles mesures fiscales contenues dans la loi de finances 2019.