Alors que le prix des courses est désormais soumis à une taxe de 4 %, l’État ivoirien a annoncé des campagnes de contrôle qui viseront avant tout les chauffeurs tout en épargnant les sociétés développant les applications de VTC.
Dans la capitale économique ivoirienne, l’arrivée des VTC aura contribué à rajeunir le parc automobile, qui a désormais un train d’avance sur les autres capitales de la sous-région. Qu’en sera-t-il pour Dakar, qui lui emboîte le pas ?
Trois mois après avoir posé ses valises dans le royaume, la plateforme russe de mobilité urbaine s’est vu interdire toute activité commerciale à Casablanca faute d’« autorisation préalable ».
Grâce à des partenariats dans la grande distribution et les transports, la start-up d’origine américaine, par ailleurs en discussion avec des assureurs, élargit son offre. Ce qui confirme la compétition à l’œuvre avec les opérateurs télécoms et les banques.
La plateforme française, désormais présente dans huit pays du continent, vient de démarrer ses opérations dans la capitale malienne et poursuit dans sa dynamique d’expansion.
Heetch, le leader du VTC au Maroc, a saisi le Conseil de la concurrence pour statuer sur la légalité des activités de Careem, à qui elle reproche d’exercer sans que ses chauffeurs n’aient d’agrément du ministère de l’Intérieur.
Si l’américain Uber a quitté le Maroc l’an passé, son rival français a su s’allier avec les chauffeurs locaux pour devenir leader du VTC dans la capitale économique marocaine.
Le fonds d’investissement panafricain a investi début novembre quatre millions de dollars dans la start-up française de Véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) pour soutenir sa stratégie de développement en Afrique francophone, initiée en 2017 à travers son implantation au Maroc.