La compagnie aérienne nationale kényane Kenya Airways compte parmi les plus importantes d’Afrique. Elle propose des vols à destination de 29 pays du continent.
Dans un secteur où la concurrence s’est accrue ces dernières années, l’avionneur canadien Bombardier ambitionne d’équiper un maximum de compagnies aériennes au sud du Sahara. Et regarde vers le Maghreb. Jean-Paul Boutibou, vice-président des ventes Afrique et Moyen-Orient, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Multiplication de lignes, nouveaux appareils… Avec la croissance des échanges économiques, l’empire du Milieu offre la promesse d’un développement exponentiel à la compagnie africaine Ethiopian Airlines.
Malgré les problèmes sécuritaires, les taxes élevées et la concurrence d’Aigle Azur, le trafic sur la ligne Paris-Bamako ne cesse de croître. À l’occasion du 80e anniversaire de cette desserte, le patron de la compagnie française fait le point sur les activités, au Mali et dans le reste de l’Afrique.
Il connaît encore peu l’Afrique. Mais c’est lui qui devra sortir l’une des principales compagnies aériennes du continent de ses difficultés. Recruté par le chasseur de têtes britannique Spencer Stuart, Sebastian Mikosz, 44 ans, a pris ses fonctions de directeur général de Kenya Airways le 1er juin et devrait y rester trois ans.
Nairobi a entamé un vaste plan de restructuration financière de sa compagnie aérienne nationale, Kenya Airways, lourdement endettée. Il prévoit notamment de remonter au capital du transporteur et de faciliter de nouvelles levées de fonds.
Leader des dessertes entre le continent et l’Europe, le groupe franco-néerlandais veut davantage diversifier son réseau long-courrier en s’appuyant notamment sur ses partenaires ivoirien et kényan.
En grandes difficultés financières, le transporteur public aérien du Kenya, qui envisage de procéder à des réductions d’effectif, est confronté à un préavis de grève des pilotes mardi prochain. Kenya Airways menace désormais de suspendre ses vols si les pilotes ne reviennent pas sur leur décision.
La compagnie aérienne Kenya Airways, en difficultés en raison notamment d’une baisse du tourisme liée à Ebola, va bénéficier d’un prêt de 4,2 milliards de shillings kényans (43 millions de dollars) accordée par le gouvernement, selon l’agence Reuters.
Alors que les attentats terroristes n’augurent rien de bon pour le tourisme kényan, la compagnie Kenya Airways espère beaucoup de son alliance avec Air France. La preuve : elle vient de renforcer ses vols à destination de la Ville Lumière.
À l’occasion de l’inauguration du vol Nairobi-Paris, Titus Naikuni, le patron de Kenya Airways, a entrepris de consolider ses liens avec Air France-KLM, qui a 26 % du capital de la compagnie kényane.
Le transporteur aérien Kenya Airways a pris livraison de son premier Boeing « Dreamliner » après le début de la deuxième phase d’un financement de 1,9 milliard de dollars organisé par la Banque africaine d’import-export Afreximbank.
Le président de Kenya Airways est en visite à Abidjan pour discuter d’éventuels partenariats avec le patron de la compagnie nationale ivoirienne. Une visite organisée par Air France-KLM, qui est présent aux deux tours de table.
Le patron de Kenya Airways, troisième transporteur en Afrique, a annoncé dans une interview à « Bloomberg » que la compagnie s’apprêtait à lancer JamboJet, une filiale low cost, courant 2013.