Les arrestations de dirigeants du secteur privé et l’attente de décisions sur l’importation d’intrants mettent plusieurs filières dans des situations délicates.
Les concessionnaires automobiles tunisiens se considèrent doublement lésés par les hausses des taxes sur les importations prévues dans le projet de loi de finances 2018 et par la circulaire de la Banque centrale sur les produits de consommation non essentiels. Ils préviennent qu’en l’état, le prix des voitures essence neuves de moyenne gamme devrait augmenter de 13 à 30%.