Géant tunisien de l’agroalimentaire, l’entreprise commercialise certains gâteaux à l’étranger, notamment en France, à un prix inférieur à celui du marché local, ce qui suscite certaines interrogations.
Poids des grands groupes familiaux, ententes illicites… Le rapport de l’organe intergouvernemental dresse en Tunisie un tableau alarmant du fonctionnement bancaire. La société civile et les autorités préparent la riposte, chacun à sa façon.
En Tunisie, le récent mandat de dépôt émis contre un ancien dirigeant du holding étatique responsable des biens confisqués de la révolution relance la question de la mauvaise gestion des anciennes sociétés du clan Ben Ali.
En s’acharnant judiciairement sur ce chef d’entreprise, le chef de l’État tunisien paraît plus soucieux de désigner des boucs émissaires que de trouver des solutions à la crise économique qui ronge son pays.
Malgré un rajeunissement à la tête de la première banque privée tunisienne avec l’arrivée prochaine de Moez Hadj Slimen, les actionnaires de référence de la Biat misent sur la prudence.
Certaines grandes entreprises africaines n’apparaissent pas dans notre classement des 500 champions africains. La raison ? Elles refusent de divulguer leurs comptes. Un manque de transparence signe d’une faiblesse de l’État de droit, qui est aussi nuisible au développement des marchés de capitaux.
Sidérurgie, mines et même outsourcing ont permis aux groupes nord-africains d’enregistrer de belles performances dans notre classement régional des 500 Champions africains 2023.
L’enseigne de distribution du groupe Mabrouk deviendra le premier agent de paiement d’envergure en Tunisie. En proposant à sa clientèle les services de portefeuille électronique, Monoprix espère donner un coup de fouet à une activité quelque peu léthargique.
Le groupe français cherche un partenaire stratégique en Égypte. Une option qui satisfait Le Caire et répond aux contraintes nées de la dégradation de la situation économique du pays.
Trois ans à peine après son arrivée dans le pays, le groupe suédois ferme déjà ses boutiques et il n’est pas le seul. Un phénomène que la loi de finances 2023 risque encore d’accentuer.
Entre managers chevronnés aux commandes des filiales et membres influents de l’élite politico-économique franco-tunisienne, la plus célèbre fratrie du business tunisien a su forger une garde rapprochée aussi sélect qu’influente. Jeune Afrique a mené l’enquête.