Le gouvernement entend augmenter la couverture des réseaux télécom du pays tout en dessinant un cadre réglementaire qui doit permettre au nouvel opérateur public de rebattre les cartes du marché.
Orange Mali et la filiale de Maroc Telecom ont été condamnés en appel à 262 millions d’euros d’amende. Une décision exécutoire qu’ils vont contester en cassation. L’analyse de Jeune Afrique.
Le numéro un subit les récentes décisions d’un régulateur moins acquis à sa cause depuis 2020. Cette situation ouvre des perspectives à Inwi et Orange, qui progressent sur tous les fronts.
Les filiales subsahariennes continuent de représenter près de la moitié des revenus du groupe. Mais les opportunités de développement se font de plus en plus rares.
Dans leur rapport « Crise sanitaire Covid-19 : des lueurs d’espoir au bout du tunnel », les analystes d’Attijari Global Research se sont penchés sur les secteurs qui bénéficient ou vont bénéficier d’une nouvelle dynamique de croissance du fait de la crise.
En s’acquittant de l’amende de 3,3 milliards de dirhams infligée par le régulateur suite à une plainte du concurrent Inwi, Maroc Telecom confirme une accalmie dans un secteur marocain des télécoms jusqu’ici caractérisé par de vives tensions entre opérateurs.
Le conseil d’administration du troisième opérateur marocain a décidé de retirer la plainte qu’elle avait déposé en 2018 au tribunal de commerce de Rabat contre Maroc Telecom. Ce choix intervient après que le régulateur a sanctionné lourdement fin janvier ce dernier pour « abus de position dominante ».
Avec des revenus en hausse de 0,9 % en 2019, le groupe contrôlé par l’émirati Etisalat affiche une croissance réelle mais timide, tirée principalement par la consommation de data mobile.
Engagé dans un bras de fer réglementaire et judiciaire contre Maroc Telecom, la filiale du holding royal Al Mada et du koweïtien Zain vient de faire condamner le groupe dirigé par Abdeslam Ahizoune à une amende de 3,3 milliards de dirhams pour « abus de position dominante ».
Patrimoine immatériel, goût du savoir, égalité des sexes… Pour l’économiste marocain, revenu de tous les dogmes en la matière, le progrès n’est pas qu’une affaire de chiffres et de courbes ascendantes.
Le processus de privatisation annoncé par le Maroc pour cette année commencera par la cession de quelques participations de Maroc Telecom. Une fois les 8% cédés, l’État détiendra encore 22% du capital de l’opérateur historique marocain.
L’opérateur marocain a annoncé le 14 mars la signature d’un accord avec le groupe luxembourgeois Millicom en vue d’acquérir la marque Tigo au Tchad. Un achat qui permettrait à Maroc Telecom de poursuivre son offensive au sud du Sahara.
Le président du groupe Maroc Telecom a été reçu en début de semaine par le président tchadien Idriss Déby Itno, en vue d’une probable entrée du groupe marocain sur le marché téléphonique du Tchad.
Après quelques semestres de vaches maigres, le marché domestique de Maroc Telecom reprend, enfin, un rythme haussier. À l’international, l’entreprise présidée par Abdeslam Ahizoune diminue quelque peu son rythme de croissance.
Largement absentes des places financières africaines, les compagnies de téléphonie ne semblent pas disposées à inverser la tendance malgré les pressions des États.
Au Maroc, le duel de l’année se fera devant le tribunal de commerce de Rabat. Inwi, le troisième opérateur téléphonique du pays, a déposé une plainte contre son rival le géant Maroc Telecom (IAM) pour concurrence déloyale.
En perte de vitesse au Maroc, avec un chiffre d’affaire en baisse de 3,6 %, le résultat net de Maroc Telecom a progressé de 4,4 % en 2017 grâce au dynamisme des activités panafricaines du groupe.
Depuis plus de dix ans, les opérateurs marocains étendent leurs activités à travers le continent. Jusqu’alors surtout centrée sur les services, leur présence se diversifie, notamment dans l’industrie.
Le Français, jusqu’ici directeur financier d’Orange Egypt, a été nommé membre du directoire de l’opérateur marocain. Il y remplace Oussama El Rifai, directeur général administratif et financier.
Pionnier parmi les entreprises chérifiennes à s’être implantées au sud du Sahara, l’opérateur de téléphonie mobile tire désormais une bonne partie de sa croissance de ses nouveaux marchés.
Selon plusieurs sources, le prochain limogeage du gendarme en chef du secteur des télécoms lui a été notifié mardi. Une décision qui serait venue directement de Tanzanie où le roi Mohammed VI est en visite officielle. Quelle interprétation donner à ce départ ? Jeune Afrique fait le point.
L’opérateur téléphonique Moov Togo, filiale du groupe Maroc Telecom, a annoncé fin juillet la construction d’un réseau de fibre optique de plus de 400 kilomètres de Lomé à Kara. Une première pour la société privée de téléphonie mobile au Togo.
Maroc Telecom a enregistré au premier semestre 2016 un bénéfice en hausse de +3,2 %, porté notamment par une bonne performance de ses filiales subsahariennes, alors que le groupe stagne sur son marché historique.
Après être devenu le sponsor officiel du festival d’Essaouira, organisé par A3 Communication, l’opérateur historique Maroc Télécom, dirigé par Abdeslam Ahizoune, confie à la société ses relations publiques.
L’opérateur, qui a dû s’endetter pour racheter six filiales participations de sa maison-mère en Afrique, a vu son résultat reculer de -4 %, malgré une nette progression du chiffre d’affaires.
L’opérateur marocain, actif en Côte d’Ivoire sous la marque « Moov », a déboursé 50 milliards de F CFA (76 millions d’euros) pour le paiement de la première tranche de la licence globale de télécommunication.