Le Congo a beau disposer de 10 millions d’hectares de terres arables, il importe 80% de ses besoins alimentaires. L’exécutif s’attèle donc à développer l’agriculture et à susciter des vocations.
Au prix de 500 dinars (3,26 euros) le litre, le lait de chamelle est dix fois plus cher que celui de la vache, mais ses vertus sont si nombreuses qu’il séduit à nouveau les consommateurs algériens.
Alors que les pesticides dangereux interdits au sein de l’Union européenne sont encore produits et exportés vers le Maghreb, des décideurs de part et d’autre de la Méditerranée s’engagent à faire évoluer les législations, Rabat et Bruxelles en tête.