Cet incident, qui a débuté le 29 janvier – et dont on ignore encore l’origine et l’ampleur –, a affecté les services prépayés de l’énergéticien, et ses clients utilisateurs des compteurs intelligents.
La cour d’appel du Littoral a suspendu une décision du juge du tribunal de première instance de Douala Bonanjo exigeant le transfert au profit du greffier de près de 411 000 euros appartenant à l’opérateur et détenus dans une banque.
La rocambolesque affaire Danpullo a mis en lumière la porosité entre le monde des affaires et l’État camerounais, ainsi que la fragilité de la notion d’indépendance de la justice. Pendant ce temps, nous explique Omer Mbadi, l’attrait du pays en matière d’investissements ne cesse de décliner…
La CDEC du Cameroun a demandé à la cour d’appel du Littoral d’annuler des décisions judiciaires exigeant le transfert des fonds de la filiale de l’opérateur sud-africain. Explications.
Jusque-là discrète, la diplomatie sud-africaine a décidé de se faire entendre dans la croisade judiciaire déclenchée au Cameroun par Baba Danpullo contre des filiales des groupes de leur pays. Les liquidateurs des entreprises de l’homme d’affaires en Afrique du Sud ont également chargé un cabinet camerounais de les représenter dans les procédures locales.
Pour la première fois depuis 2019, l’Agence de régulation a infligé une amende de 9,1 millions d’euros aux principaux opérateurs télécoms au Cameroun. Lesquels se réfugient derrière l’absence de notification pour se justifier.
Mauvaise qualité de service, tarification peu avantageuse… À l’image des Burkinabè et des Ivoiriens, les consommateurs camerounais boycottent des services deux heures chaque jour. Face à l’ampleur du mouvement, le gouvernement a décidé de réagir.
La guerre judiciaire entre le milliardaire et le groupe sud-africain fait toujours rage devant les tribunaux camerounais. Après que l’entrepreneur a obtenu plusieurs décisions de justice favorables, c’est au tour de l’opérateur télécom de riposter à Douala. Révélations
Après le gel des fonds de la filiale camerounaise de l’opérateur télécoms en septembre, l’homme d’affaires vient d’obtenir leur transfert des banques vers le compte d’un greffier. Les avocats de la société sud-africaine s’inquiètent du risque de disparition de l’argent.
Réformes structurelles, incitations fiscales, règlement des conflits… Le Premier ministre camerounais, Joseph Dion Ngute, met l’accent sur les mesures prises pour attirer les investissements directs étrangers.
L’opérateur historique s’est lié à MTN Cameroun afin de rendre ses abonnés mobiles joignables sur tout le territoire, en attendant le déploiement intégral de son réseau d’accès. Comme le sénégalais Sonatel, il nourrit une ambition sous-régionale.
Début septembre, le milliardaire camerounais a fait saisir les comptes des filiales de groupes sud-africains à Yaoundé, afin d’obtenir le paiement de… plus de 370 millions d’euros. Ce proche du président Paul Biya riposte à la liquidation de ses immeubles, opérée en Afrique du Sud par First National Bank.
L’Agence de régulation des télécommunications (ART) du Cameroun a infligé une amende globale de 3,5 milliards de francs CFA aux opérateurs MTN, Orange et Nexttel, notamment accusés d’avoir violé la réglementation sur l’identification des abonnés.
Les autorités camerounaises démentent vouloir procéder à une coupure d’internet durant le scrutin présidentiel du 7 octobre, qualifiant cette rumeur circulant sur les réseaux sociaux de « grossière manipulation ».
Le maire de Buea, capitale de la région du Sud-Ouest secouée depuis bientôt deux ans par une crise socio-politique, avait fait apposer des scellés sur les portes des entreprises qui ferment boutique chaque lundi, pour respecter la consigne de « ville morte » décidée par le mouvement sécessionniste anglophone. Il est finalement revenu sur cette décision.
Alors que leur maison mère a évoqué, dans son rapport annuel, une révision prochaine de son portefeuille pouvant conduire à la cession de certaines de ses filiales, les directions de MTN Cameroun et MTN Bénin s’efforcent de rassurer leur clientèle respective.
L’opérateur mobile sud-africain MTN a renoué avec des résultats positifs en 2017, après une année 2016 difficile. Le groupe annonce qu’il pourrait se séparer de certaines de ses filiales dans les marchés où le cadre réglementaire n’est pas favorable ou marqué par des conflits.
Les filiales des géants français et sud-africain ont suspendu le service d’Express Union transitant par leur réseau. La société de microfinance y voit une volonté de l’expulser de ce secteur.
Suite à une augmentation des tarifs des services mobiles Money d’Orange Cameroun et MTN, les associations de défense des consommateurs au Cameroun montent au créneau.
L’opérateur renoue son soutien aux championnats professionnels de football de première et deuxième divisions, rebaptisées MTN Elite One et MTN Elite Two, à la suite d’une convention de partenariat signée le 11 mai avec la Ligue professionnelle de football.