La filiale ghanéenne du géant sud-africain des télécoms s’est vu imposer un très lourd arriéré fiscal sur la période 2014-2018. D’autres sociétés sont dans le viseur des autorités.
Largement absentes des places financières africaines, les compagnies de téléphonie ne semblent pas disposées à inverser la tendance malgré les pressions des États.