Un an après son introduction en bourse en Ouganda, la plus grande entreprise de télécommunications du pays n’a pas déclenché le buzz que beaucoup espéraient, malgré une croissance et un versement de dividendes impressionnants.
La start-up spécialisée dans les services bancaires en ligne, passée par les bancs de Y Combinator en 2021, a bouclé fin novembre la plus grosse levée de fonds jamais enregistrée en Côte d’Ivoire. Portrait.
Après une édition 2021 à distance, le grand raout annuel de l’industrie des télécoms entame un retour en physique et tourné vers les start-up et l’innovation africaine.
Le 21 octobre, l’opérateur public lancera ses services mobiles pour concurrencer Moov et MTN. La stratégie de Cotonou, qui mise en partie sur une réglementation favorable au nouvel entrant, fait grincer des dents.
Malgré des années de consolidation, le marché africain des télécoms regorge toujours d’opportunités d’expansion. Tour d’horizon des principaux deals en cours.
L’opérateur ne contrôle plus de filiales au Moyen-Orient. Une région qu’il a volontairement décidé de délaisser pour se concentrer sur le continent, qui lui offre davantage d’opportunités à long terme.
L’opérateur mobile sud-africain MTN est en pourparlers pour racheter l’entreprise publique Telkom, et s’emparer ainsi de la place de leader sur le marché local devant Vodacom. Mais la Commission de la concurrence veille.
Entre Porto-Novo, Casablanca, Londres et Paris, l’itinéraire cosmopolite du patron de fintech lui permet aujourd’hui d’être à la tête d’une start-up capable de s’offrir une entreprise américaine.
« Les 50 champions de la tech 2022 » (1/3). Ils dirigent Chipper Cash, OPay, Wave, TradeDepot, Andela mais aussi MTN, Vodacom, Orange, Google, Amazon, Terraco et Huawei : retrouvez dans ce classement exclusif les trente patrons les plus importants de la tech africaine.
Les trois opérateurs ont choisi de séparer leur activité mobile money pour attirer des investisseurs extérieurs. Mais selon certains spécialistes, le modèle low-cost de Wave pourrait mettre à mal leurs objectifs de valorisation.
Logo flambant neuf, nominations dans des filiales clés, nouveaux axes de développement… Ralph Mupita entend bien asseoir le leadership continental de MTN, en transformant l’opérateur de télécoms en acteur technologique global.
Capitaines d’industrie, responsables politiques du continent et poids lourds mondiaux participent au Mobile World Congress (MWC). Bienvenue dans les coulisses de cette grand-messe de la tech et des télécoms.
Arrivée d’un troisième opérateur sur le marché, vertus du plan « Bénin révélé », stratégie et ambitions du groupe panafricain… Uche Ofodile, directrice générale de MTN Bénin, a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
Le gouvernement entend augmenter la couverture des réseaux télécom du pays tout en dessinant un cadre réglementaire qui doit permettre au nouvel opérateur public de rebattre les cartes du marché.
Après des débuts agités à Dakar, le dirigeant sénégalais, décrit par tous comme un « gros bosseur » et un « chic type », est parvenu à s’épanouir dans l’un des plus grands groupes du continent. Jusqu’à en devenir l’une des pièces maîtresses.
Parmi les premiers au monde à avoir opté pour l’OpenRAN, l’opérateur sud-africain tente un pari censé lui permettre de réaliser d’importantes économies et de rendre ses infrastructures plus évolutives.
Les opérateurs accélèrent l’externalisation de leurs équipements pour se concentrer sur leur cœur de métier : les services. Une aubaine pour les gestionnaires de tours télécoms qui ont enfin convaincu les marchés de la rentabilité de leurs activités sur le territoire africain.
La start-up de paiement mobile vient de lever ces ressources auprès de SoftBank, géant japonais de l’investissement, dans l’optique notamment d’élargir sa présence sur le continent.
Un an après la prise de poste de ce manager connu pour parler le langage des investisseurs, le leader africain des télécoms est plébiscité sur les marchés. Explications.
Tandis que MTN, Airtel et Vodacom s’engagent sur de nouveaux terrains, le groupe français poursuit une stratégie basée sur les télécoms traditionnelles. Un choix dangereux ?
En Éthiopie, la sélection d’un consortium soutenu par des investisseurs américains a donné lieu à des interprétations bien contradictoires. Comment démêler le vrai du faux ?
Toujours sous l’emprise des tensions monétaires et du yoyo des matières premières, l’activité des champions du continent a reculé pour la deuxième année consécutive. Les entreprises ouest-africaines s’en sortent plutôt mieux.
L’opérateur sud-africain pourrait être de nouveau candidat à l’obtention d’une licence en Éthiopie lors d’une seconde attribution qui interviendra dans quelques mois.