En froid avec les autorités tunisiennes, le consortium franco-marocain s’est fait remplacer par le français Voltalia dans la réalisation de la centrale photovoltaïque de Gafsa.
Transformé il y a cinq ans en fonds panafricain, Al Mada a multiplié les mégadeals sur le continent, où il réalise désormais plus d’un quart de ses bénéfices. Au siège de Casablanca, on l’assure : le meilleur reste à venir…