En RDC, depuis la fin de l’année 2023, deux établissements – quatre et cinq étoiles – ont ouvert à quelques centaines de mètres l’un de l’autre dans le quartier d’affaires de la capitale, à la Gombe. Malgré la concurrence, tous deux semblent avoir trouvé leur clientèle. Mais de nouvelles enseignes arrivent.
Cette année, la Grande Île retrouve enfin des flux touristiques acceptables. Et, pour donner un réel coup d’accélérateur à la relance post-Covid, autorités et professionnels déploient de nouvelles stratégies afin d’attirer plus de visiteurs sur leurs terres encore largement méconnues.
Hôtellerie, immobilier, restauration… De nombreux sportifs marocains ou internationaux ont choisi de faire des affaires dans le royaume, devenant souvent de véritables ambassadeurs à l’étranger.
Le groupe Accor devrait ouvrir trois nouveaux hôtels à Abidjan entre 2020 et 2021, et d’autres établissements dans différentes villes de Côte d’Ivoire.
Dans la plus chic banlieue de la capitale, le tunisien Mabrouk et le canadien Four Seasons ouvriront, le 11 décembre, le premier cinq-étoiles de l’enseigne dans le pays.
La parole était ce mercredi à la défense, après le réquisitoire du procureur général, qui a préconisé cinq peines de « prison à vie » à l’encontre des principaux accusés, jugés pour le rapt et les meurtres de quatre expatriés au Novotel d’Abidjan en 2011. Le verdict pourrait être rendu jeudi.
Des peines de prison à vie ont été requises ce mardi à l’encontre de cinq des dix accusés − dont l’ancien commandant de l’ex-garde républicaine Brunot Dogbo Blé −, jugés à Abidjan pour les arrestations suivies des meurtres de quatre expatriés au Novotel d’Abidjan lors de la crise post-électorale ivoirienne.
Le procès des disparus du Novotel s’est poursuivi ce jeudi à Abidjan avec l’audition de plusieurs témoins. L’un d’entre eux a affirmé que le commando était arrivé au Novotel avec une liste de personnes recherchées.
Le procès des disparus du Novotel s’est poursuivi jeudi 9 mars à Abidjan avec l’audition de plusieurs accusés, confrontés à la présentation de vidéos du rapt ayant coûté la vie à quatre expatriés lors de la crise post-électorale ivoirienne.
L’ancien chef de la garde républicaine ivoirienne est jugé, en même temps que dix autres personnes, pour sa participation présumée à l’enlèvement et au meurtre en 2011 de quatre personnes dans cet hôtel de la capitale ivoirienne. Mercredi au tribunal, il a nié toute implication.
Une semaine après l’ouverture du procès des « disparus du Novotel », les auditions des dix accusés se sont poursuivies mardi 28 février, cette fois-ci sous le regard de la famille de Stéphane Frantz Di Rippel.
Ils étaient nombreux à craindre un nouveau report dans la salle d’audience du tribunal de Yopougon, où s’est finalement ouvert mardi 21 février le procès « des disparus du Novotel ».
Alors que le procès de Simone Gbagbo doit reprendre ce mardi 21 février, celui des « disparus du Novotel », autre procès emblématique de la crise post-électorale ivoirienne, doit également s’ouvrir dans la matinée après avoir été reporté fin janvier.
À peine ouvert ce mardi à Abidjan, le procès des auteurs présumés du rapt du Novotel a été reporté au 21 février. Dix personnes, la plupart des militaires ivoiriens, sont accusées de l’enlèvement et de l’assassinat de quatre hommes dont deux Français en 2011, sur fond de crise post-électorale.