Fondée par le géant OCP, l’Université Mohammed-VI-Polytechnique est devenue en quelques années l’établissement d’enseignement le plus prestigieux du royaume. Partenaire de Harvard, de Columbia University ou encore de CentraleSupélec, l’institution dirigée par Hicham El Habti aspire à former la future élite africaine.
Le groupe dirigé par Mostafa Terrab vient d’enregistrer un revers dans une bataille juridique qui l’oppose à Mosaic, aux États-Unis. Une bataille démarrée durant la première présidence Trump.
Décriés ou non réalisés, certains projets africains du milliardaire Gautam Adani font peser des doutes sur les ambitions continentales du conglomérat asiatique.
Après Stellantis, L’Oréal, CMA CGM et Stoa, la filiale de l’Université Mohammed VI Polytechnique rejoint le capital de la greentech tricolore. Objectif : développer l’industrie du charbon végétal, notamment en Afrique subsaharienne, où la jeune société développe déjà plusieurs projets.
Pierre angulaire du développement économique du royaume, certains établissements et entreprises publics enchaînent les performances. D’autres les pertes. Tour d’horizon.
Engagé dans un ambitieux programme de décarbonation, le premier producteur mondial d’engrais phosphatés va désormais bénéficier de la force de frappe de l’énergéticien français.
Depuis quelques années, le groupe dirigé par Mostafa Terrab investit dans des activités loin de son cœur de métier. Est-ce bien sa vocation ? À quels critères obéit cette stratégie de diversification ?
Avec des méthodes pédagogiques audacieuses et un accompagnement sur mesure, le lycée d’excellence Mohammed VI de Benguérir forme de véritables machines à gagner les concours et obtient déjà des résultats qui n’ont rien à envier aux lycées parisiens les plus prestigieux.
En moins de dix ans, le Lydex, établissement d’enseignement secondaire et supérieur à l’ambition affichée d’ascenseur social, a réussi à hisser ses classes préparatoires au niveau de ses homologues françaises les plus prestigieuses. Reportage dans une institution d’exception.
Arrivé au Cameroun en 2021, Fortescue Metal Group s’est engagé à développer le tout premier projet de production d’hydrogène vert au Cameroun. Trois années plus tard, cet accord semble plus que jamais compromis.
À la faveur d’une décision du producteur américain Mosaic, le géant marocain des phosphates entrevoit une détente sur l’imposition de droits de douane à ses exportations.
Rita Maria Zniber initie d’importants changements au sein du board de son groupe et s’entoure de nouveaux profils. Parmi eux, une ancienne cadre du géant OCP et une ex-haut cadre de Saham Finances. Une condition sine qua non pour mener à bien le projet d’ouverture de capital de son holding.
Chasse gardée des États, le réseau de transport électrique constitue aujourd’hui l’un des principaux freins au développement de l’électrification en Afrique. Quelles cartes le continent a-t-il en mains pour y remédier ?
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE – Cheville ouvrière du géant marocain des phosphates dans le domaine agricole, l’ingénieur à la tête du département « agribusiness et solutions durables » d’une filiale dédiée à l’innovation et la sécurité alimentaire est convaincu que la solution pour y parvenir viendra du continent. Et s’attache désormais à le démontrer à travers des projets pionniers, notamment en Côte d’Ivoire.
Sous pression des pouvoirs publics, l’office marocain de l’électricité doit désormais composer avec une nouvelle donne : l’énorme programme de 13 gigawatts d’énergie propre que l’entreprise OCP, dirigée par Mostafa Terrab compte produire à l’horizon 2032. Soit plus du double de la capacité actuelle du réseau de transport électrique du royaume.
Recherche et développement, financement, régulation… Plusieurs pays du continent se mettent en ordre de marche pour prendre le train de l’intelligence artificielle. D’autres sont encore à la traîne.
Patronat, OCP, ministère de l’Industrie, Masen, Royal Air Maroc… À l’Africa CEO Forum, plusieurs représentants des secteurs public et privé ont vanté les opportunités d’investissements dans le royaume.
Le département du Commerce des États-Unis veut relever les droits de douane sur les engrais marocains de 2,12 % à 14,21 %. Cette mesure, si elle est confirmée, pourrait affecter directement le groupe marocain OCP, susceptible de faire appel, et pourrait augmenter les coûts pour les agriculteurs américains.
Le marocain OCP Group, leader mondial de l’engrais phosphaté, investit depuis plusieurs années dans les énergies d’avenir. Une initiative qui vise à réduire son empreinte carbone et ses importations d’ammoniac.
Hydrogène, ammoniac vert, technologie… Les deux mastodontes miniers veulent créer « une entreprise de pointe mondiale » afin de répondre aux besoins du Maroc, mais aussi à ceux des marchés internationaux.
Appelé à constituer un « tournant pour l’économie marocaine », le « pétrole vert » est désormais au cœur de la stratégie énergétique du royaume. Plusieurs géants du secteur sont d’ores et déjà dans les starting-blocks.
Le géant marocain dirigé par Mostafa Terrab présente des résultats 2023 en repli par rapport à 2022 et 2021, deux années fastes. Ce qui ne l’empêche pas de maintenir ses ambitions et ses investissements.
Premier producteur mondial d’engrais phosphatés, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab ne cesse de s’étendre et de se diversifier. Il mène aujourd’hui de front plusieurs chantiers aussi ambitieux que stratégiques pour le royaume. Au risque de s’éparpiller ?
La flambée de l’or noir a propulsé les bénéfices des pétroliers mais n’a pas empêché la marge nette des 500 de tomber à 11,5% contre 14,9% lors de l’édition précédente.
Désireuse de renforcer la coopération entre le Maroc et l’Hexagone en matière de recherche et d’entrepreneuriat, l’UM6P vient d’inaugurer une antenne française à Paris.
Confrontés au stress hydrique, les pays du Maghreb rivalisent de projets pour continuer d’assurer l’approvisionnement en eau potable à leur population.
Des décisions de justice encourageantes et le relatif maintien de ses exportations témoignent de la capacité d’adaptation du géant marocain sur le marché américain face à son concurrent.
En bataille devant la Chambre de commerce internationale à Paris ou devant des institutions américaines, le géant marocain des engrais phosphatés ne lésine pas sur les moyens pour gagner ses contentieux. Revue de détails.
En visite aux Émirats arabes unis, le roi du Maroc est accompagné d’une délégation à forte composante économique, imprimant une couleur très « business » à ce déplacement royal.