L’INTERVIEW ÉCO – Ambitions vertes, nouveaux appels d’offres, partenariats en Afrique subsaharienne… Le nouveau directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) nous avait accordé sa dernière interview en tant que patron de la « super agence » Masen.
Tarik Hamane, le nouveau directeur général, déploie sa stratégie de transformation de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE). Coulisses.
Le Conseil marocain de la concurrence pointe du doigt le recours aux frais supplémentaires appliqués par les opérateurs. Une pratique qui illustre une certaine réticence à développer la numérisation des achats.
Placées entre l’enclume de l’explosion de la facture énergétique et le marteau de la colère sociale encourue face à l’augmentation des prix, les compagnies nationales d’électricité de notre classement des 500 Champions africains avancent en terrain miné.
Après avoir annoncé des bénéfices en forte progression, le premier producteur privé d’électricité au Maroc dévoile ses nouvelles ambitions en matière d’énergies renouvelables.
Confronté à des problèmes de sécheresse et de pénurie d’eau plus aigus que jamais, le Maroc compte sur le savoir-faire israélien en matière de gestion de l’eau pour en atténuer les effets. Une coopération rendue possible par la normalisation des relations entre les deux États.
Le renchérissement des matières énergétiques plombe le bilan de l’Office nationale de l’électricité et de l’eau potable (Onee). Un déficit de plus de 2 milliards d’euros est envisagé. Éclairage.
Le producteur d’électricité émirati et l’Office national de l’électricité et de l’eau potable ont reconduit le contrat portant sur la production de la centrale thermique de Jorf Lasfar, qui fournit 40 % de l’électricité au Maroc.
Le litige entre la Camerounaise des eaux d’un côté et l’État camerounais et Camwater de l’autre s’envenime. La première, filiale du consortium marocain dominé par l’ONEE et Delta Holding, a rejeté le conciliateur camerounais devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements.
La situation financière de l’Office national de l’eau et de l’électricité (Onee) s’est fortement dégradée cette année. Les dirigeants espèrent la mise en place d’un nouveau contrat-programme. La scission de l’Office en trois entités est envisagée.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? Le royaume et ses entreprises sont notamment impliqués dans le financement et la réalisation de projets structurants majeurs pour le continent.
Un programme d’investissements de 4,7 milliards d’euros a été approuvé pour l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (Onee). Parmi les objectifs : sécuriser l’approvisionnement en électricité et en eau potable et poursuivre les projets pour dépasser l’objectif national en terme d’énergies renouvelables dans le mix énergétique.
Après avoir raflé les projets Noor I, II, III et IV, le groupe saoudien tente la passe de cinq avec Noor Midelt. Mais la partie s’annonce cette fois plus compliquée.
Abderrahim El Hafidi, directeur général de l’Onee et Mustapha Bakkoury, président de Masen, se voit en rivaux par le chevauchement de leurs activités. À terme pourtant, les deux sociétés seraient complémentaires.
Associé au sein du cabinet d’avocats DLA Piper Casablanca, en charge des dossiers infrastructures et énergie, Saad El Mernissi revient sur l’un des appels d’offres les plus convoités en Afrique pour 2018 : le projet « Gas to Power », complexe gazier pharaonique à Jorf Lasfar.
Les autorités marocaines ont annoncé une série de mesures d’urgence, suite au rejet sur le littoral de boues noires non-identifiées provenant apparemment d’une centrale thermique dans la ville de Mohammedia, sur la côte atlantique.
Algérie, Maroc, Libye : jusqu’à récemment, le dessalement d’eau de mer était réservé sur le continent aux pays du Nord, très arides et capables de payer pour cette coûteuse technologie, souvent présentée comme le dernier recours pour l’approvisionnement en eau.