Alors que la Côte d’Ivoire souhaite déployer le réseau 5G sur l’ensemble de son territoire, le gouvernement et les principaux opérateurs peinent à se mettre d’accord sur un modèle rentable. Explications.
Après les avoir alertés à plusieurs reprises, l’Agence de régulation des télécommunications ivoirienne a infligé une pénalité de 13 milliards de F CFA aux trois principaux opérateurs télécoms du pays. Explications.
Portée par les opérateurs télécoms et les banques, la bourse régionale des valeurs mobilières a enregistré une capitalisation boursière de près de 8 000 milliards de francs CFA en 2023. Un « record ».
La bourse ouest-africaine a franchi, pour la première fois, la barre symbolique des 8 000 milliards de francs CFA. Une capitalisation record, reflet de la confiance des investisseurs mais aussi du regain de forme des titres vedettes de la place d’Abidjan.
La filière bancaire africaine du groupe de télécommunications ne devrait pas être impactée par les négociations exclusives pour les activités de sa consœur en France et en Espagne avec la banque commerciale française.
L’instauration d’un nouveau prix plancher pour l’internet mobile avait déclenché le mécontentement des consommateurs devant l’explosion de leurs factures. Face à la fronde, un retour aux anciennes offres a été décidé.
Depuis une dizaine d’années, l’association, qui rassemble l’industrie mondiale des télécoms, s’immisce de plus en plus dans le développement de la tech continentale. Quelles sont ses intentions ?
Élu en novembre 2022, le patron des patrons vient de nommer les membres du bureau exécutif de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). Qui sont-ils, et quels sont leurs réseaux ?
L’opération prendra la forme d’une introduction à la bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) et permettra au gouvernement de Patrick Achi de boucler le budget 2022.
Nommée il y a six mois à la tête d’Orange, Christel Heydemann a effectué avec son état-major son premier voyage sur le continent, précisément en Côte d’Ivoire, premier marché africain de l’opérateur. L’Afrique est devenue au cours de la dernière décennie la région du monde la plus dynamique pour le géant des télécoms français.
Le patronat des télécoms pointe la responsabilité de Wave dans la déstabilisation du marché du mobile money après une semaine de grève menée par les propriétaires de points de vente. Ces derniers appliquent désormais des frais supplémentaires lors des transactions.
L’opérateur a nettement revu à la baisse les commissions des points de vente, qui ont lancé une grève de trois jours en réponse. Leurs protestations valent aussi pour Orange, MTN et Moov. Explications.
Du juridique au marketing, en passant par le développement des RH et les infrastructures, le groupe de télécoms optimise ses performances en s’appuyant sur ses deux centres de décision ouest-africains, qui pèsent conjointement 54% de ses revenus sur le continent et au Moyen-Orient.
Créée par deux Américains pour baisser les frais des transactions en mobile money, la start-up est sous le feu des projecteurs depuis qu’Orange tente de freiner son développement au Sénégal.
Partenariat avec des universités de renom, stages à distance, formation interne… Pour étoffer ses équipes dans les domaines identifiés comme stratégiques, l’opérateur diversifie les pistes.
Baptisé Djoliba, le réseau mutualisé du groupe devrait simplifier ses offres sur le marché B to B en Afrique de l’Ouest. Il promet aussi de désenclaver les pays non côtiers.
Implanté au Maroc, en Tunisie et en Égypte, le groupe français ne parvient pas à inquiéter les leaders de ces marchés, et sa transformation en opérateur de services piétine… en attendant l’arrivée en 2020 d’Orange Money dans le royaume chérifien.
Avec l’appui d’un large pool bancaire, Orange poursuit ses investissements en Côte d’Ivoire, afin d’asseoir son statut de leader sur le marché national des télécoms.
Durant les mois d’avril et mai, plusieurs équipements de fibre optique ont été sectionnés et déterrés, entraînant des interruptions du haut débit chez des clients de l’opérateur Orange, qui chiffre le préjudice à 6 milliards de francs CFA.
L’incendie qui a occasionné la coupure quasi complète des services de l’opérateur Orange, résulterait d’un sabotage. C’est ce qui résulte des premiers éléments de l’enquête diligentée par la justice ivoirienne.