Orange est une entreprise française dé télécommunications. Elle est implantée dans 83 % des pays du continent africain et de la région du Moyen-Orient (rapport annuel 2013).
Le pays voit le nombre de développeurs augmenter plus vite que partout ailleurs sur le continent. Mais une partie d’entre eux choisit l’exil, faute d’opportunités.
« Les 50 champions de la tech 2022 » (1/3). Ils dirigent Chipper Cash, OPay, Wave, TradeDepot, Andela mais aussi MTN, Vodacom, Orange, Google, Amazon, Terraco et Huawei : retrouvez dans ce classement exclusif les trente patrons les plus importants de la tech africaine.
Grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique, le patron d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient commente l’arrivée de la fintech américaine en Afrique de l’Ouest, répond aux critiques sur le prix de l’Internet et salue le rôle positif de l’équipementier chinois Huawei sur le continent.
Capitaines d’industrie, responsables politiques du continent et poids lourds mondiaux participent au Mobile World Congress (MWC). Bienvenue dans les coulisses de cette grand-messe de la tech et des télécoms.
Dans un contexte de grande instabilité politique et d’intensification des attaques de groupes djihadistes dans la bande du Sahel, les opérateurs doivent redoubler d’attention pour garantir la sécurité de leurs collaborateurs et protéger leurs infrastructures.
Orange Mali et la filiale de Maroc Telecom ont été condamnés en appel à 262 millions d’euros d’amende. Une décision exécutoire qu’ils vont contester en cassation. L’analyse de Jeune Afrique.
Celui qui quittera Orange à la fin de janvier 2022 en a fait un groupe solidement implanté en Europe et en Afrique. En onze ans de règne, Stéphane Richard a été le témoin de l’essor de la téléphonie mobile et du digital sur le continent.
Condamné dans l’affaire Tapie en France, le patron de l’opérateur quittera ses fonctions au plus tard le 31 janvier. Sans en être un grand connaisseur, il a cru au potentiel du continent.
Après des débuts agités à Dakar, le dirigeant sénégalais, décrit par tous comme un « gros bosseur » et un « chic type », est parvenu à s’épanouir dans l’un des plus grands groupes du continent. Jusqu’à en devenir l’une des pièces maîtresses.
Du juridique au marketing, en passant par le développement des RH et les infrastructures, le groupe de télécoms optimise ses performances en s’appuyant sur ses deux centres de décision ouest-africains, qui pèsent conjointement 54% de ses revenus sur le continent et au Moyen-Orient.
Les opérateurs accélèrent l’externalisation de leurs équipements pour se concentrer sur leur cœur de métier : les services. Une aubaine pour les gestionnaires de tours télécoms qui ont enfin convaincu les marchés de la rentabilité de leurs activités sur le territoire africain.
Tandis que MTN, Airtel et Vodacom s’engagent sur de nouveaux terrains, le groupe français poursuit une stratégie basée sur les télécoms traditionnelles. Un choix dangereux ?
Du fait de la pandémie et de l’évolution des usages, les entreprises ont revu à la baisse leurs achats de véhicules mais plébiscitent de nouveaux services.
Des délégations ministérielles africaines ont participé à cette grand-messe de l’industrie des télécoms, malgré une audience réduite et moins d’acteurs privés, Covid-19 oblige. Reportage.
Créée par deux Américains pour baisser les frais des transactions en mobile money, la start-up est sous le feu des projecteurs depuis qu’Orange tente de freiner son développement au Sénégal.
Avec 50 millions d’euros à placer rapidement, l’investisseur rattaché au groupe de télécoms veut accélérer notamment sur l’amorçage. Grégoire de Padirac, co-responsable d’Orange Ventures à Dakar, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Huit mois après son arrivée à la tête du géant des télécoms, le Zimbabwéen dévoile en exclusivité pour JA les détails de la stratégie qu’il souhaite mettre en œuvre jusqu’en 2025.
Partenariat avec des universités de renom, stages à distance, formation interne… Pour étoffer ses équipes dans les domaines identifiés comme stratégiques, l’opérateur diversifie les pistes.
Faute d’avoir mis en place en temps et en heure le nouveau système de facturation imposé par le régulateur, la filiale locale de l’opérateur français doit s’acquitter d’une sanction de 2,2 millions de dollars.
Optimisation du trafic durant la pandémie, fibre optique, concurrence sur le cloud… 2020 a vu de nombreux progrès dans la connectivité mais trois urgences demeurent.
Baptisé Djoliba, le réseau mutualisé du groupe devrait simplifier ses offres sur le marché B to B en Afrique de l’Ouest. Il promet aussi de désenclaver les pays non côtiers.
Si nombre de dirigeantes africaines sont à la tête de groupes familiaux, les multinationales n’hésitent plus à recruter des femmes, dont la « compétitivité » est reconnue. Portraits.
Les Gafam sont maintenant considérés comme des alliés par le groupe français, qui mise sur le développement de la data et de la fintech sur le continent.
Les pouvoirs publics et Orange Guinée se rejettent la responsabilité de la coupure du trafic internet qui perturbe les communications à l’international depuis le 23 octobre.
Avec la modification des tarifs de ses forfaits mobiles, Orange se retrouve une nouvelle fois dans le viseur des consommateurs. Depuis la commercialisation de ses offres en 2006, l’opérateur est la cible de polémiques récurrentes.
Poids lourds, outsiders et parfaits inconnus : douze candidats sont lancés dans une bataille inégale pour décrocher l’une des deux licences mises en vente par Addis-Abeba.