Orange est une entreprise française dé télécommunications. Elle est implantée dans 83 % des pays du continent africain et de la région du Moyen-Orient (rapport annuel 2013).
Les pouvoirs publics et Orange Guinée se rejettent la responsabilité de la coupure du trafic internet qui perturbe les communications à l’international depuis le 23 octobre.
Avec la modification des tarifs de ses forfaits mobiles, Orange se retrouve une nouvelle fois dans le viseur des consommateurs. Depuis la commercialisation de ses offres en 2006, l’opérateur est la cible de polémiques récurrentes.
Poids lourds, outsiders et parfaits inconnus : douze candidats sont lancés dans une bataille inégale pour décrocher l’une des deux licences mises en vente par Addis-Abeba.
Toujours intéressé par l’Éthiopie, Stéphane Richard envisage également une acquisition stratégique dans les grandes économies du continent. Quitte à opérer un rapprochement avec MTN ?
Les coulisses du projet de câble 2Africa détaillés, en exclusivité, par Ibrahima Ba, chargé des investissements dans les infrastructures de réseaux pour les pays émergents chez Facebook.
Chefs d’État, ex-politiques, partenaires et dirigeants d’Orange… Stéphane Richard s’est entouré de nombreuses personnalités africaines pour gérer les affaires de son groupe sur le continent.
À la tête d’Orange Moyen-Orient et Afrique depuis bientôt deux ans, le Sénégalais, premier Africain à diriger l’une des filiales de l’opérateur français, fait le point sur la crise actuelle à l’échelle du secteur des télécoms, dont la centralité ne s’est jamais affirmée avec autant d’évidence qu’en ces temps de confinement et d’hyperconnexion.
Des travaux prévus sur le câble internet sous-marin ACE les 21 et 22 mars auraient momentanément privé les utilisateurs guinéens d’Orange, MTN et Cellcom de connexion et d’appels internationaux, en plein week-end électoral. Mais ceux-ci ont finalement été reportés de quelques jours.
Bien implanté au sud du Sahara, l’opérateur de télécoms veut séduire les usagers du royaume avec le portefeuille virtuel fonctionnant en interopérabilité qu’il vient de lancer.
Le gouvernement éthiopien n’a pas encore fait connaître le nouveau calendrier après le report de l’octroi de deux licences d’opérateurs de télécommunications, initialement prévu pour ce mois de mars.
Alors que le débat sur la pression fiscale qui pèse sur le secteur s’intensifie, le directeur général de Smart africa, une alliance coordonnée par l’Union africaine pour la promotion et l’harmonisation des réglementations du secteur numérique sur le continent, incrimine certaines politiques nationales et prône une taxation des Gafam.
Confronté à la mainmise occidentale sur l’économie sénégalaise, le président Macky Sall fait le grand écart entre une opinion demandeuse de gages de souveraineté et des « partenaires » qui n’hésitent pas à donner leur avis sur la conduite des affaires du pays.
Avec une croissance du chiffre d’affaires de 6,2 % en 2019, la région Afrique et Moyen Orient est de loin le marché le plus dynamique du groupe qui y intensifie ses investissements. Selon ses objectifs, elle doit représenter 20 % de ses revenus en 2025.
Grâce à son nouveau satellite, l’opérateur européen, déjà actif dans sept pays, fournira dès cette année du haut débit aux zones les plus enclavées du continent.
Arguant d’une fiscalité désavantageuse, Orange Burkina a indiqué son intention d’appliquer de nouveaux tarifs à compter du 17 février. Une annonce qui a provoqué l’ire du gouvernement et des associations de consommateurs.
La levée des sanctions européennes ciblant Marouane Mabrouk, principal actionnaire d’Orange Tunisie pourrait accélérer la prise de contrôle par l’opérateur français sur sa filiale tunisienne. Mais Tunis est-il prêt à l’accepter ?
L’opérateur français de télécoms ne disposait pas de siège opérationnel en Afrique. Il est désormais installé dans le nouveau quartier Casablanca Finance City.
L’arrivée de l’opérateur Free au Sénégal en octobre a poussé ses concurrents, Orange et Expresso, à proposer des offres concurrentielles. En conséquence, la baisse des tarifs de la téléphonie mobile, l’un des principaux objectifs de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes, a bel et bien eu lieu.
Implanté au Maroc, en Tunisie et en Égypte, le groupe français ne parvient pas à inquiéter les leaders de ces marchés, et sa transformation en opérateur de services piétine… en attendant l’arrivée en 2020 d’Orange Money dans le royaume chérifien.
Présent au salon AfricaCom, qui s’est tenu cette semaine au Cap, Balcha Reba, directeur général du régulateur éthiopien des télécoms, s’est affiché en promoteur de la libéralisation économique du pays d’Afrique de l’Est.
La marque française débarque sur le continent pour concurrencer Orange, leader incontesté en Afrique. Cette première incursion, immense défi à l’hégémonie du rival, constitue aussi un pari sur l’avenir qu’il faudra réussir.
Le groupe de télécoms français Orange va vendre sa filiale en difficulté au Niger, a annoncé le gouvernement nigérien. L’actionnaire minoritaire, la société Zamani Com S.A.S, de l’homme d’affaires nigérien Mohamed Rhissa, associé au Malien Moctar Thiam, en prend le contrôle.
Boomplay, Spotify, Deezer, mais aussi Simfy, Waw Muzik et Mdundo… Les plateformes musicales internationales et locales prennent enfin leur envol avec l’appui des opérateurs, qui espèrent ainsi augmenter leur trafic.
L’Agence de régulation des télécommunications (ART) du Cameroun a infligé une amende globale de 3,5 milliards de francs CFA aux opérateurs MTN, Orange et Nexttel, notamment accusés d’avoir violé la réglementation sur l’identification des abonnés.
Après avoir relancé Orange Money au Sénégal, la polytechnicienne pilote la transformation numérique des filiales de l’opérateur français sur le continent.
Ouverture du marché éthiopien des télécoms, déploiement de la 4G, accompagnement des start-up via l’Orange Digital Center, nouveaux services bancaires digitaux… Le PDG d’Orange, Stéphane Richard, passe en revue les priorités du groupe sur le continent.
La start-up américaine KaiOS Technologies, à l’origine d’un système d’exploitation adapté aux téléphones non tactiles, vient de lever 45 millions d’euros, notamment avec une participation d’Orange. Parmi ses marchés prioritaires, l’Afrique et les pays émergents, où elle entend améliorer l’accès à la téléphonie mobile et à internet.