Orange est une entreprise française dé télécommunications. Elle est implantée dans 83 % des pays du continent africain et de la région du Moyen-Orient (rapport annuel 2013).
La Société ivoirienne de télédiffusion (IDT), organe public chargé de la migration vers la télévision numérique terrestre (TNT), a choisi le luxembourgeois Société européenne de satellites (SES) pour accompagner le gouvernement dans la transition du mode d’émission analogique à la TNT.
Forte de ses succès à Lomé et à Libreville, la filiale de Vivendi se lance à Pointe-Noire. En réaction, ses concurrents développent leurs offres et baissent leurs prix.
Le groupe français Orange Cyberdefense a implanté sa première filiale Africaine à Casablanca, avec laquelle elle espère rayonner sur tout le continent où entreprises et institutions peine à enrayer les actes de cybercriminalité.
L’opérateur burkinabè, détenu à 61 % par Maroc Télécom, a annoncé un bénéfice net en hausse de 12,5 % à 31,8 milliards de F CFA sur an. Avec un parc d’abonnés à 7,7 millions de clients, Onatel affirme son intention de poursuivre ses efforts d’investissements, notamment pour l’acquisition d’une licence incluant la 4G.
Orange-Guinée a obtenu le 14 mars une licence d’exploitation 4G pour les dix prochaines années, en échange d’un chèque de 79,5 millions d’euros signé aux autorités guinéennes. Une première dans le pays.
Représentants politiques, marques et fournisseurs d’accès : tous les grands acteurs des télécoms actifs en Afrique et dans le monde entier étaient réunis cette semaine à Barcelone, pour le Mobile World Congress.
L’entreprise britannique spécialisée dans la fourniture de services solaires off-grid a déjà levé 100 millions de dollars et noué des partenariats avec EDF et Orange.
Cette tribune est extraite de Booming Africa, un essai sur les nouvelles technologies signé Bruno Mettling, président d’Orange Middle East and Africa, et sorti le 17 janvier 2019 aux éditions Débats publics.
La plateforme panafricaine Jumia devrait battre de nouveaux records cette année. Mais elle n’est toujours pas rentable et reste à la recherche du modèle qui a permis aux géants Alibaba et Amazon de prospérer.
L’année 2018 a été marquée par l’apparition de mouvements de protestation sur les réseaux sociaux visant les politiques commerciales de certaines entreprises sur le continent. Enquête sur une petite révolution.
Quand les leaders du secteur accusent les gouvernements de menacer leurs activités en multipliant les sanctions, ces derniers invoquent un manque de transparence.
C’est grâce à New Delhi que la start-up fondée en Californie KaiOS – qui a fourni le système d’exploitation du smartphone non tactile à 20 dollars dévoilé par MTN le 13 novembre – a connu un démarrage fulgurant.
Les deux opérateurs ont créé une entreprise commune pour permettre l’interopérabilité immédiate de leurs services de mobile money sur le continent. À terme, l’objectif est d’ouvrir cette joint-venture à d’autres acteurs du secteur, afin que la mobile money devienne « un moyen de paiement universel en Afrique ».
Court-circuités sur les appels et les messages par des services tels que WhatsApp, les opérateurs comptent sur les nouveaux services liés à l’internet sur mobile pour générer de nouveaux revenus. Mais la connectivité des Africains reste toute relative.
C’est à un Africain que l’opérateur français a confié, en mai, la direction de sa zone Afrique et Moyen-Orient. Et c’est à Jeune Afrique que le Sénégalais a choisi de donner sa première interview.
Rob Shuter, le patron de MTN, a annoncé ce 13 novembre la commercialisation dès le mois de janvier par son groupe de smartphones non tactiles à bas coûts, qui seront vendus autour de 20 dollars dans tous les pays où l’opérateur est présent.
Largement absentes des places financières africaines, les compagnies de téléphonie ne semblent pas disposées à inverser la tendance malgré les pressions des États.
Une grande majorité de pays africains dispose du très haut débit mobile. Les opérateurs ont pris les devants avec des investissements colossaux. Ils cherchent désormais à développer la consommation de données.
Le maire de Buea, capitale de la région du Sud-Ouest secouée depuis bientôt deux ans par une crise socio-politique, avait fait apposer des scellés sur les portes des entreprises qui ferment boutique chaque lundi, pour respecter la consigne de « ville morte » décidée par le mouvement sécessionniste anglophone. Il est finalement revenu sur cette décision.
Après le Botswana et le Cameroun, c’est en Côte d’Ivoire qu’Orange a lancé le 10 juillet un service de carte de paiement et de retrait. Un pas de plus dans le développement de services financiers par l’opérateur français.
Dix ans après avoir lancé sa solution de paiement pour fidéliser sa clientèle, l’opérateur commence à développer des services financiers. Au grand dam de ses anciens partenaires bancaires.
La Côte d’Ivoire est au ralenti depuis qu’un incendie a ravagé le site névralgique de transmission d’Orange Côte d’Ivoire, le 30 avril. Le numéro un des télécommunications dans le pays voit son réseau ralenti, voire coupé.
Les autorités camerounaises demandent à Orange Cameroun de déployer la 4G sur les sites qui vont abriter la Coupe d’Afrique des nations de football d’ici mai 2019. Cette obligation est incluse dans l’un des trois avenants à la convention de sa licence signés lundi.
En marge de l’Africa CEO Forum, organisé à Abidjan les 26 et 27 mars 2018, Bruno Mettling, PDG d’Orange Middle East and Africa, a dévoilé à Jeune Afrique les prochaines étapes du développement de l’offre de services financiers du groupe de télécoms français.
L’opérateur, Orange nomme le Sénégalais Alioune Ndiaye directeur général des filiales réunies au sein d’Orange Middle East and Africa (OMEA). Quatre autres Africains vont siéger au comité de direction de ce holding.
L’opérateur de téléphonie mobile Expresso a lancé en fin de semaine dernière son service de transfert d’argent, rejoignant ainsi ses principaux concurrents, Orange et Tigo.
Télécommunications, banques ou compagnies pétrolières… De plus en plus d’entreprises collectent les informations issues des objets connectés. Mais leur pleine exploitation reste encore en chantier.
À l’heure des bilans, force est de constater que l’année qui s’achève n’a pas été de tout repos pour les télécoms. Alors que l’Afrique a dépassé le milliard d’abonnés mobiles, retour sur les amendes, les pertes ou octrois de licences et les bras de fer qui ont marqué l’année.