Orange est une entreprise française dé télécommunications. Elle est implantée dans 83 % des pays du continent africain et de la région du Moyen-Orient (rapport annuel 2013).
La réception gratuite des communications venant de l’Afrique de l’Ouest et un tarif local pour l’émission d’appels : c’est ce dont devraient bénéficier les usagers béninois, dont le pays vient de rejoindre le protocole d’Abidjan. Mais la mise en place de cet accord ne sera pas immédiate.
Développement des services financiers, expansion territoriale, partenariat avec Canal+, le patron de l’opérateur français détaille la stratégie du groupe sur le continent.
De passage au Sénégal puis en Côte d’Ivoire, du 21 au 23 novembre, le PDG d’Orange a participé au lancement de deux formations dont l’opérateur et ses filiales locales sont partenaires. Le moyen de réaffirmer l’importance du continent pour le futur de son groupe.
Détenteur du monopole sur ce réseau et de l’exclusivité de la gestion de la bande passante internationale, l’opérateur historique camerounais, devenu rentier, ne parvient pas à se réinventer.
Pour ne pas davantage pénaliser sa clientèle, la filiale du groupe français s’est résolue mercredi à régler le reliquat de la facture de 1,6 milliard de francs CFA (2,44 millions d’euros) que lui réclamait depuis juillet l’opérateur historique Camtel. Tout en continuant de la contester.
Les quatre opérateurs télécoms qui officient au Niger se sont vu infliger des amendes pour un total de 3,5 milliards de francs CFA (environ 5,3 millions d’euros). C’est ce qu’a annoncé à la télévision nationale la directrice de l’Autorité de régulation, qui leur reproche ne de pas avoir amélioré la qualité de leur service.
Conscientes des opportunités qu’offre le continent, de grandes entreprises hexagonales y prospèrent, mais les petites et moyennes entreprises peinent à suivre. De nouvelles perspectives semblent cependant s’ouvrir avec l’engagement du gouvernement français en matière d’aide aux financements.
Dans son dernier rapport d’août 2017 sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, le Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique Centrale (Gabac) détaille comment les nouveaux moyens de paiement (mobile money, carte prépayée, paiement en ligne) peuvent favoriser la criminalité financière.
Pour la deuxième fois en huit mois, un avion immatriculé en Guinée équatoriale est cloué au sol du fait d’un litige entre l’opérateur de téléphonie Orange et l’État équato-guinéen.
Dans une interview à nos confrères français de « La Tribune », le groupe français Orange détaille les contours de son nouveau fonds dédié aux start-up du continent, dont la création avait été annoncée en mars dernier par « Jeune Afrique ».
L’entreprise Morphosis, basée au Havre, en France, et spécialisé dans la récupération des métaux rares issus des déchets électroniques, veut augmenter ses flux en provenance d’Afrique.
Jeudi, le groupe de télécommunications français a présenté Orange Bank, son nouveau service bancaire qui sera lancé en France le 6 juillet 2017, a annoncé le PDG du groupe, Stéphane Richard. Objectif : porter le chiffre d’affaires des services financiers, dont Orange Money en Afrique a été précurseur, à 400 millions d’euros en 2018.
Le géant français, arrivé dans le pays en 2016, ne compte pas se contenter d’une place de numéro deux. Il défie la filiale locale de Maroc Télécom sur les prix tout en multipliant les investissements.
Un tribunal de Conakry a condamné vendredi la société de téléphonie Orange Guinée à payer 10,250 milliards de de francs guinéens (1 030 250 euros) à la maison de production Suk’Arts pour « exploitation frauduleuse à des fins commerciales » de la chanson Moumma de l’artiste Khady Diop.
Le troisième opérateur du pays va lancer son réseau 3G en avril. Un nouveau service visant à rattraper son retard de développement dans le pays derrière Onatel et Orange.
Le continent ne manque plus de compétences. Mais un jeune diplômé ne devient pas cadre dirigeant en un jour. Pour développer le potentiel de leurs meilleurs éléments, les entreprises les confrontent très tôt à la réalité des plus hautes responsabilités. Le groupe bancaire panafricain porte une grande attention à ses jeunes recrues. Sa directrice du personnel nous livre sa stratégie pour les attirer, les faire évoluer… et les retenir.
L’opérateur historique sénégalais enregistre des records de croissance depuis vingt ans. Mais cela ne suffit pas à éteindre les rancœurs, des syndicats jusqu’au premier cercle du pouvoir sénégalais, à l’égard de son actionnaire de référence, Orange.
Le régulateur sénégalais des télécoms avait donné six mois aux trois principaux opérateurs du pays pour identifier tous leurs abonnés. La date butoir dépassée, près d’un tiers des lignes téléphoniques mobiles du pays ont été suspendues.
Au terme de la conférence PNDES à Paris, le Burkina a annoncé avoir reçu 16 milliards d’intentions de financement de la part des entreprises du secteur privé. Une somme très importante, mais sur laquelle très peu de détails ont été donnés.
La filiale ivoirienne du groupe français Orange vient de lever sur le marché bancaire local et international via un syndicat de banques 190 milliards de F CFA (290 millions d’euros) pour refinancer ses opérations en Afrique de l’ouest. La signature de la convention s’est déroulée dans la soirée du 21 novembre à Abidjan.
L’opérateur français veut accroître son contrôle sur sa filiale locale, au cœur d’un imbroglio juridique depuis 2011. Mais il perd patience. Il a menacé de quitter le pays.