L’Interview éco – Exploration, production, ouverture à l’international… Un an après sa prise de fonctions, la directrice générale de la Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire fait le point sur ses priorités.
Alors que la centrale d’Azito et la Compagnie ivoirienne de production d’électricité font face à des incidents techniques, les industriels ivoiriens saisissent leur ministre à propos des délestages qu’ils subissent.
Depuis la dernière édition des 500 champions africains, 60 nouveaux CEOs ont été nommés parmi les lauréats de notre classement. Certains ont hérité de conditions plutôt favorables, comme les dirigeants de Petroci, Dangote Cement, KenGen et Air Algérie. Tour d’horizon de leur profil et de ce qui les attend.
Entre exploration et production, retrait stratégique et transaction astronomique, l’année qui s’achève a été riche pour des groupes comme Sonatrach, TotalEnergies ou Eni. Rétrospective.
À l’heure où le président Alassane Ouattara veut accélérer la prospection, le groupe public se mobilise pour augmenter, à moindre coût, la production de pétrole et de gaz.
La major italienne Eni et son partenaire ivoirien Petroci ciblent une production moyenne journalière de 150 000 barils de pétrole et de 200 millions de pieds cubes de gaz à l’horizon de 2026.
Après avoir décuplé en une décennie les revenus de l’entreprise familiale, le patron de 42 ans s’apprête à acquérir une entreprise en Afrique de l’Ouest, tout en poursuivant la diversification de ses activités.
Vingt ans après un passage en tant que stagiaire, l’ingénieure en production pétrogazière a été choisie pour « révolutionner » la société pétrolière ivoirienne et tirer un trait sur « le scandale du gaz butane disparu ».
Le lieutenant-colonel Damiba, Nabil Karoui, Denis Sassou Nguesso, Laurent Gbagbo, le général « Hemetti »… Tels sont quelques-uns des clients de cet obscur lobbyiste israélo-canadien aux méthodes discutables.
La major italienne souhaite démarrer dès 2023 l’exploitation du gisement offshore Baleine, qu’elle a identifié il y a seulement trois mois. Elle entend s’appuyer sur son expérience ghanéenne et les bonnes infrastructures ivoiriennes déjà existantes.
Le changement de statut de la société publique pétrolière illustre la volonté de l’exécutif ivoirien d’assurer ses arrières dans les négociations à venir.
Si la production ivoirienne de pétrole a augmenté de 16,50 % fin mars 2019, elle reste encore loin des ambitions affichées par le gouvernement, qui tente de faire du pays un grand producteur d’hydrocarbures.
La Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci) construira en 2019 deux sphères de stockage de gaz butane, d’une capacité de 3 000 tonnes chacune, dans le port de San Pedro.
Depuis quelques semaines, les bouteilles de gaz sont difficiles à trouver à Abidjan, et les prix de celles qui sont proposées à la vente ont grimpé de 50 %. Derrière ce phénomène qui pourrait se poursuivre jusqu’en octobre prochain, des problèmes de stockage d’une énergie massivement importée.
Le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara, a autorisé le 28 février en Conseil des ministres la cession des activités du réseau de 37 stations-service de la compagnie publique Petroci à Puma Energy Côte d’Ivoire, propriété du trader pétrolier Trafigura.
Les représentants des salariés de la Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci) ont annoncé lundi avoir suspendu leur grève « dans l’attente de nouveaux engagements au conseil d’administration du 19 juillet ».
Des syndicats de la Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci) ont reconduit leur grève « illimitée » pour dénoncer la « violation du code du travail » et exiger la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’emploi en prévision des opérations de restructuration de l’entreprise publique.
À la tête du portefeuille de l’Énergie dans le nouveau gouvernement ivoirien, l’ex-patron d’Ecobank fait sa véritable entrée en politique, après deux ans au secrétariat général de la présidence.
Le dubaïote, domicilié au Royaume-Uni et coté en Norvège depuis sa réorganisation en 2014, a annoncé avoir finalisé un programme de développement sur quatre ans du champ pétrolier et gazier du bloc CI-27, situé au large de la Côte d’Ivoire, dans lequel il a annoncé lundi avoir investi 800 un milliard de dollars (755 millions d’euros).
La séquestration de plusieurs cadres et le débrayage du personnel de deux champs pétroliers maritimes, exploités par Canadian Natural Resources (CNR), ont mis un coup de frein à la production ivoirienne.
En grande difficulté, la compagnie publique ivoirienne, qui vient de changer de direction, a réduit ses effectifs et s’apprête à céder ses stations-service.
La Société nationale d’opérations pétrolières de la Côte d’Ivoire (Petroci) a décidé de réactiver tous ses projets situés hors des frontières ivoiriennes.
Petroci, leader du marché ivoirien de la distribution de gaz, a investi 30 milliards de F CFA pour tripler ses capacités de stockage à Abidjan. Elles atteignent désormais 12 600 tonnes.
Le manutentionnaire belge Sea-Invest investit sur le terminal minéralier d’Abidjan et multiplie les partenariats avec des sociétés de l’hinterland. Objectif : exporter en masse les minerais ouest-africains.