L’émirat du Golfe se montre assez frileux pour investir au Nigeria dont la réputation est peu fiable. Pour les analystes, le chef de l’État nigérian frappe à la mauvaise porte.
Le 11 août, le Paris Saint-Germain et la société algérienne Yassir ont annoncé la signature d’un contrat de partenariat pour trois saisons. Il rapportera au total 15 millions d’euros au PSG.
Abdel Fattah al-Sissi s’est rendu à Doha pour une rencontre qui scelle le rétablissement des relations avec les Qataris, et qui a nourri les spéculations sur un éventuel accord libyen, où les deux pays sont impliqués.
Hommes de l’ombre et de confiance, les trois frères originaires d’Algérie occupent une place particulière dans l’entourage immédiat de Nasser al-Khelaïfi, le président du club parisien de football.
L’émirat, qui oriente une partie de ses investissements subsahariens depuis le Maroc, planche sur une nouvelle structure dédiée au financement des infrastructures dans ces marchés.
De l’aérien à la finance et aux infrastructures, l’émirat passe l’accélérateur à Abidjan. Stratégie, acteurs principaux, moyens… « Jeune Afrique » dévoile les coulisses de cette expansion.
Prêt frauduleux, consultant fantôme… C’est la douche froide pour le pétrolier nigérian Lekoil qui, depuis qu’il a découvert – et annoncé – le caractère frauduleux d’un prêt de 184 millions de dollars de la Qatar Investment Authority (QIA), subit un fort revers à la Bourse de Londres, où sa capitalisation a chuté de 35 millions de livres sterling (45,6 millions de dollars) en moins d’une semaine.
Nouveaux venus (relatifs) sur le marché de la dette, les États du Golfe jaugent la santé de leur économie à l’aune de la demande internationale pour leurs obligations.