Tourisme, hydrogène vert, croissance économique. La normalisation des relations entre le Maroc et l’Algérie marquerait le début d’une nouvelle ère pour les deux pays et toute la région.
Un an après la prise de fonction de son directeur général, Alioune Badara Fall, le pavillon sénégalais table toujours sur le redressement des comptes et l’équilibre opérationnel en décembre prochain.
Si le trafic aérien sur le continent tend à rattraper son niveau de 2019, certains pays s’en sortent mieux que d’autres. Mais des problèmes « structurels » demeurent, souligne l’Association du transport aérien international.
La compagnie aérienne qatarie assure désormais en son nom les vols entre le Maroc et le Qatar, sans que l’accord de partage de codes avec la RAM ne soit remis en question.
Si Ethiopian Airlines est toujours en tête du palmarès pour les compagnies africaines, la compagnie marocaine a progressé de 13 places en un an, et s’offre une belle septième place mondiale pour les compagnies régionales.
Si les aéroports du royaume ont tourné la page du Covid, avec des chiffres supérieurs à ceux de 2019 pour le premier trimestre de 2023, la provenance des voyageurs a quelque peu évolué.
À compter de 2025, tous les avions au départ des aéroports européens devront incorporer une part de carburants d’aviation durables (SAF) dans leur kérosène. Avec, comme principale conséquence, une augmentation du prix du combustible.
L’intervention de Gianni Infantino a permis la participation des Lionceaux à la Coupe d’Afrique des nations des moins de 17 ans. Ils s’envoleront de Rabat pour rejoindre directement Constantine.
Attendue à Constantine pour son premier match en Coupe d’Afrique des nations des moins de 17 ans, la sélection marocaine n’a toujours pas quitté Rabat. Un scénario qui rappelle celui du dernier Chan, disputé en Algérie… sans le Maroc.
Si elle se consacre beaucoup au lancement du marché commun africain et à la question de la place des femmes dans l’industrie aéronautique, la directrice générale de RwandAir porte surtout une politique ambitieuse – et onéreuse – de développement de sa compagnie, avec la confiance et l’appui de Kigali.
Trois ans après le coup d’arrêt brutal au transport aérien, plusieurs centaines de billets émis par les compagnies nationales algérienne, tunisienne, marocaine et malgache n’ont toujours pas été remboursés.
De Chicago à Addis-Abeba, de Miami à Casablanca ou de Washington au Cap, les compagnies aériennes multiplient les offres, dépassant de loin le niveau d’avant Covid.
Si le secteur portuaire redresse la tête, les compagnies aériennes n’ont pas encore fini de payer les dommages liés à la crise sanitaire comme le montre notre classement 2023.
L’aéroport dakarois, qui a pleinement retrouvé, et même amélioré son trafic passagers pré-Covid, n’affiche pas encore des résultats aussi satisfaisants pour le fret.
Retour en force, retour timide ou pas de retour du tout ? Alors que Pékin assouplit l’accès à son territoire, les compagnies aériennes africaines peaufinent leur stratégie pour reprendre leurs liaisons avec l’empire du Milieu. Mais trois années de fermeture ont laissé des traces.
Ce petit aéroport du nord du royaume s’est surpassé en 2022, avec une hausse du trafic de 431 % par rapport à 2019. Une prouesse qui ne s’explique pas que par l’attrait touristique de la ville.
Audit des entreprises publiques, contrats décortiqués : chacune dans leur style, ces trois figures du monde économique marocain et congolais croient en un développement juste et équilibré.
Grands sponsors des retrouvailles des acteurs du secteur, les avionneurs ont rencontré à Dakar plus de fournisseurs de services aériens que de compagnies. Coulisses.
Dans un contexte mondial de pénurie de main-d’œuvre affectant le secteur aérien, les compagnies du continent, qui se révèlent souvent moins attractives pour les professionnels internationaux, ont plus que jamais besoin de disposer de leur propre vivier de talents nationaux.
Après l’annulation de vols d’Air France, de la Royal Air Maroc ou encore d’Air Sénégal, la défiance semble plus forte que jamais entre les dirigeants de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar et les syndicalistes. Un nouveau round de négociations est prévu le 17 octobre.
Touristes et Marocains de l’étranger sont de retour au royaume, où les nouveaux projets hôteliers se multiplient. Mais l’impact de la longue période de fermeture des frontières en janvier se fait encore ressentir.
Premier constructeur des avions volant en Afrique, l’américain Boeing voit ses parts de marchés grignotées par son concurrent européen. Il conserve toutefois la fidélité de clients importants.
Après deux années de crise, Hamid Addou est parvenu à faire redécoller la RAM mais devra attendre quelques années pour renouer avec les profits. En attendant, il espère signer un contrat-programme avec l’État pour doubler la flotte de la compagnie nationale.
Comptant sur l’écosystème des start-up pour améliorer l’expérience client, optimiser les processus internes ou développer les services auxiliaires, la Royal Air Maroc amorce sa révolution 3.0.
Malgré les dégâts considérables causés par la crise sanitaire, un contexte international troublé et la toujours possible résurgence du Covid-19, le ciel africain semble s’éclaircir enfin.
Après le tout premier vol direct entre Casablanca et Tel-Aviv le 13 mars, la compagnie marocaine a signé avec son homologue israélienne, El Al Israel Airlines, un accord de partage de codes.
Initialement prévu le 12 décembre 2021 mais reporté par la déferlante Omicron, le premier vol direct reliant Casablanca à Tel-Aviv aura finalement lieu le 13 mars 2022. Une nouvelle étape du rapprochement entre les deux pays.