L’Afrique fait partie des régions qui appliquent les prix les plus élevés de la fibre Internet. Une situation en partie due au manque d’infrastructures, ainsi qu’à une préférence des consommateurs pour la connexion mobile.
Malgré l’intérêt de nombreux opérateurs comme Orange, Axian, MTN, e&, Zain ou Veon, les autorités d’Addis-Abeba ont décidé d’abandonner le processus de livraison d’une seconde licence d’opérateur privé, tandis qu’Ethiotel ne semble pas prêt à céder facilement 45 % de ses parts.
Les banques africaines font face à une concurrence féroce en matière de recrutement d’ingénieurs IT. Une situation qui menace leur rentabilité, mais aussi leur sécurité.
Conçu comme un outil d’inclusion financière, le mobile money souligne et renforce pourtant les inégalités persistantes entre les hommes et les femmes sur le continent, notamment en zone subsaharienne.
Le régulateur éthiopien vise juin pour l’ouverture des candidatures à une deuxième licence d’opérateur privé et la cession d’une partie d’Ethio Telecom. Dans ce contexte porteur, les émissaires des principaux opérateurs actifs dans la région se succèdent à Addis-Abeba. JA lève le voile sur ces tractations.
L’opérateur kényan des télécoms a reçu le feu vert de la Banque centrale éthiopienne. Le service M-Pesa concurrencera notamment Telebirr, d’Ethio Telecom.
Le patron de l’institution britannique de développement British International Investment (ex-CDC Group), analyse les perturbations des marchés financiers et la crise macroéconomique en Afrique. Et revient sur les vraies priorités du développement, dans un contexte géopolitique instable.
Depuis une dizaine d’années, l’association, qui rassemble l’industrie mondiale des télécoms, s’immisce de plus en plus dans le développement de la tech continentale. Quelles sont ses intentions ?
Réputé pour ses capacités d’exécution et sa maîtrise des questions financières, le dirigeant a su dynamiser un groupe trop à l’étroit dans son seul marché domestique.
Télécommunications, logistique, industrie manufacturière et services publics : les sept entreprises est-africaines dont le chiffre d’affaires annuel dépasse le milliard de dollars sont actives dans des secteurs très différents.
Malgré une faible représentation du continent dans le programme de conférences, les responsables privés et publics africains du numérique se sont déplacés en masse pour l’édition 2023 du rendez-vous international du secteur des télécoms.
Quelques heures après le lancement officiel de ses services à Addis-Abeba, l’opérateur de télécommunications d’origine kényane a annoncé avoir obtenu une licence pour des services de transfert d’argent par téléphone.
Le géant éthiopien des télécoms, Ethio Telecom, fait face au plus grand défi de son histoire. Avec l’ouverture du marché à la concurrence, c’est sa survie qui est en jeu.
À court de liquidités en raison de la guerre dans le Tigré, l’Éthiopie ouvre son économie aux investisseurs étrangers pour relancer sa croissance. Son nouveau fonds souverain les séduira-t-il ?
Capitaines d’industrie, responsables politiques du continent et poids lourds mondiaux participent au Mobile World Congress (MWC). Bienvenue dans les coulisses de cette grand-messe de la tech et des télécoms.
En Éthiopie, la sélection d’un consortium soutenu par des investisseurs américains a donné lieu à des interprétations bien contradictoires. Comment démêler le vrai du faux ?
Si la plateforme de services financiers a accumulé les erreurs à l’international, son hégémonie domestique lui offre la latitude de repenser sa stratégie en vue de succès durables hors de ses bases.
Poids lourds, outsiders et parfaits inconnus : douze candidats sont lancés dans une bataille inégale pour décrocher l’une des deux licences mises en vente par Addis-Abeba.
Suppression des commissions et des frais sur les transactions… Les mesures adoptées pour répondre à la pandémie représentent un « sacrifice » de plusieurs milliards de dollars.
À l’origine de la diversification des services de l’application de paiement par mobile, ce Kényan de 43 ans a été choisi par Vodacom et Safaricom pour diriger la nouvelle coentreprise chargée de faire de M-Pesa une entité à part entière.
Le plus puissant opérateur kényan, qui a enregistré une croissance à deux chiffres en 2019, a annoncé un partenariat avec Google pour la commercialisation d’un million de smartphones à bas coût sur le marché kényan.
Les deux filiales du britannique Vodafone viennent de finaliser le rachat du service de mobile money M-Pesa, via une coentreprise. Ils disposent désormais de toute latitude pour le développer et l’introduire sur de nouveaux marchés.
L’opérateur kényan a été récompensé fin février par l’association GSMA, à la fois pour la « contribution remarquable à l’industrie du mobile » que constitue la création du paiement mobile et pour DigiFarm, son application destinée aux agriculteurs.
Si le géant britannique, présent dans sept pays africains, convoite de nouveaux marchés, il préfère ne pas s’aventurer au Nigeria, dont l’écosystème est jugé trop complexe.
L’opérateur britannique qui contrôle le sud-africain Vodacom et le kényan Safaricom veut transformer le célèbre service de paiement par mobile en une plateforme de services financiers et e-commerce sophistiquée et disponible sur l’ensemble du continent.
L’opérateur kényan dirigé par Michael Joseph lancera dans les prochaine semaines “Mali”, un outil intégré à M-Pesa et qui permet d’investir de petites sommes avec 10 % d’intérêt annuel.
Présent au salon AfricaCom, qui s’est tenu cette semaine au Cap, Balcha Reba, directeur général du régulateur éthiopien des télécoms, s’est affiché en promoteur de la libéralisation économique du pays d’Afrique de l’Est.
Au lendemain du décès du PDG de Safaricom, Bob Collymore, des suites d’une leucémie, la direction par intérim de l’opérateur kenyan a été confiée à son ancien président, Michael Joseph, dans un souci de continuité.