300 CHAMPIONS DE LA FINANCE – Alors que depuis mi-2023, Société générale vend ses filiales africaines une à une, aucun des mastodontes continentaux ne s’est positionné pour les racheter. Explications.
La Banque centrale du Maroc (Bank al-Maghrib) dispose de 120 jours pour donner – ou refuser – au groupe Saham son agrément, une autorisation qui lui est indispensable à l’exercice de l’activité bancaire. Or, ce délai a été dépassé. Explications.
Un peu plus d’un an après avoir cédé ses participations dans Majorel à Teleperformance, le patron du groupe Saham hérite de la présidence du conseil d’administration du groupe français, dont le titre a dégringolé en Bourse après des changements de gouvernance.
Après avoir cédé son pôle assurances et ses activités d’offshoring, l’homme d’affaires qualifié de « plus cash du royaume » s’apprête à faire son entrée dans la banque à travers le rachat du groupe Société générale Maroc. Retour sur le parcours d’un homme d’affaires qui fascine autant qu’il trouble.
Comme durant la pandémie, les entreprises sont déjà en ordre de bataille pour organiser l’après-séisme. Une mobilisation générale qui se matérialise d’abord par des dons au profit d’un fonds spécial créé à cet effet.
Ex-membre du très sélect G14 et ancien ministre, le patron de Mutandis, 59 ans, a réussi au cours de sa carrière à se constituer un solide réseau, aussi bien dans la politique que dans le business.
L’accord valorise à 3 milliards d’euros la société détenue majoritairement par Saham du magnat marocain de la finance et Bertelsmann. Et promet d’importantes synergies.
De l’ONA à Saham en passant par la commission royale sur le modèle de développement et le conseil d’affaires Maroc-Israël, retour sur le parcours d’une centralienne qui « n’aime pas le feu des projecteurs ».
Quelles sont les banques qui ont engrangé le plus de bénéfices ? Dans le secteur de l’assurance, quelles compagnies ont gagné le plus de parts de marché ? Jeune Afrique fait le bilan de l’année en publiant son classement exclusif des 200 premières banques et des 100 premiers assureurs du continent.
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. Association avec le leader mondial du courtage Marsh, acquisition de 80 % d’Axa Assistance Maroc… En quelques années, Mehdi Tazi a réussi à construire un groupe de référence dans le courtage et l’assistance. Désormais, l’ancien PDG de Saham Assurance se donne pour objectif de devenir le leader panafricain dans cinq ans.
Malgré un engouement pour le secteur sanitaire, les opérations – menées notamment par DPI et SPE Capital – restent limitées, faute de cibles suffisamment attractives ou prêtes à ouvrir leur capital.
Outre un nouveau directeur général, le groupe sud-africain, par ailleurs propriétaire du marocain Saham, a nommé un nouveau président du conseil d’administration et a débauché une directrice financière dans les équipes du milliardaire Patrice Motsepe.
Né de la fusion des activités de Saham et de Bertelsmann, le groupe Majorel spécialisé dans les services externalisés, qui veut se développer sur le continent, vient d’inaugurer un centre au Togo.
Le mastodonte de la relation client créé en février par le groupe allemand Bertelsmann et le marocain Saham a investi 2 millions d’euros pour agencer et équiper le bâtiment de six étages qui devrait abriter d’ici la fin de l’année les activités de quelque 300 salariés, au centre de la capitale togolaise.
Encore discrète, Saham Management, la société marocaine de capital-investissement dirigée par Moulay M’hamed Elalamy, a conçu une stratégie axée autour de prises de participation majoritaires dans des groupes du royaume aux ambitions panafricaines.
Quatre mois après l’annonce du partenariat entre Saham et Bertelsmann, les deux sociétés ont dévoilé le nom de leur coentreprise, dans laquelle chaque actionnaire apporte 50 % des parts. La nouvelle société, Majorel, se positionne déjà comme un leader mondial.
Il n’avait que cinq ans quand son père, Moulay Hafid Elalamy (MHE), a créé le groupe Saham. Mais, à 28 ans, Moulay M’hamed endosse bien son costume de successeur. « Il a hérité du charme et du sens de la diplomatie de son père, mais aussi de cette capacité à rester bien entouré », nous confie un proche du groupe.
Partenaires depuis 2004, les deux sociétés ont décidé de franchir un nouveau palier avec la création, prévue pour janvier 2019, d’une future entité commune qu’elles détiendront chacune à 50 %.
Formé en management et finance à l’université Paris Dauphine, ce marocain de 38 ans a commencé sa carrière dans la banque et l’assurance avant d’intégrer en 2009 Palmeraie Développement, où il a pris la direction du pôle immobilier en 2017. Il occupe désormais le même poste au sein du groupe Saham.
Dirigeants, chefs d’entreprise et start-up prometteuses étaient en lice des Awards, les récompenses attribuées chaque année par le jury de l’Africa CEO Forum. La remise des prix de cette 6e édition a eu lieu lundi soir à Abidjan. Tour d’horizon des récipiendaires.
Une étude publiée par RSF et le site d’informations marocain « Le Desk » révèle l’importante concentration du secteur médiatique marocain. Tour d’horizon.
Saham Assurances Cote d’Ivoire, la filiale ivoirienne du groupe marocain d’assurances Saham, veut consolider sa place de leader local de l’assurance non vie (27 % de parts de marché), devant Allianz (12 %) et NSIA (12 %).
Voyants au vert pour la filiale marocaine de la branche assurances du groupe Saham qui communique ce mercredi les résultats de son exercice 2015. La croissance de l’activité et de la rentabilité est au rendez-vous, bien que moins élevée que l’an dernier.
Face au ralentissement de la branche dommages, les compagnies misent de plus en plus sur les contrats d’épargne. Mais les mentalités et la réglementation doivent encore évoluer.
En pleine offensive dans la santé au Maroc (avec la construction d’un hôpital privé à Marrakech et l’acquisition de plusieurs cliniques et centres de soins à Tanger et à Casablanca) et après avoir cédé ses cliniques et son activité immobilière en Côte d’Ivoire, le groupe Saham, de Moulay Hafid Elalamy, teste un nouveau secteur : l’éducation primaire et secondaire.