L’énergéticien français vient de finaliser un investissement conséquent dans des projets d’hydroélectricité en acquérant une filiale de l’entreprise norvégienne des énergies renouvelables, Scatec.
Près de cinq ans après avoir confié à l’énergéticien norvégien la construction d’une centrale solaire de 200 mégawatts, les autorités tunisiennes viennent de réattribuer le marché à un concurrent émirati. Plongée dans les coulisses de ce revirement.
Présent dans un projet de production d’ammoniac au nord-est de l’Égypte, le géant norvégien des énergies renouvelable Scatec vient de signer un contrat prévoyant la vente d’ammoniac vert à son compatriote Yara, spécialiste des engrais.
Avec un prêt de 100 millions de dollars de l’IFC, Release, filiale de Scatec, va installer de nouvelles centrales solaires hybrides au Cameroun et au Tchad.
Financé par l’institution britannique CDC Group, le producteur indépendant d’électricité revendique la première place sur le continent, et vise les 5 000 MW d’ici à 2025. Mais il doit composer avec une concurrence toujours plus rude.