La Côte d’Ivoire, qui souhaite vendre ses parts dans la filiale du groupe agro-alimentaire ivoirien Sifca, a désigné Boa Capital Securities, la banque d’affaires et d’intermédiation boursière de Bank of Africa (BOA), pour mener à bien l’offre publique de vente qui débutera le 5 octobre prochain. Cette opération doit rapporter 14,6 milliards de francs CFA (22 millions d’euros).
Le gouvernement ivoirien va céder à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) la participation publique de 23 % dans la société agro-industrielle Sucrivoire.
Malgré le recul de son chiffre d’affaires en 2015, l’agence West Africa Rating Agency (WARA) a maintenu la note « BBB » du producteur ivoirien de caoutchouc naturel, en raison notamment de « sa position dominante sur son marché et de sa maîtrise de la chaîne de valeur dans le secteur ».
Du circuit d’approvisionnement aux rayons des supermarchés, la Sarci et Sania s’affrontent. Mais, pour mieux contrer leurs concurrents asiatiques, ils pourraient bientôt tenter un rapprochement…
Cheikh Yakhoub Niang, responsable de la recherche chez Impaxis Securities, analyse pour « Jeune Afrique » les perspectives de Palmci, filiale spécialisée dans l’huile de palme du groupe ivoirien Sifca.
Franck Eba est le directeur de l’unité agricole intégrée de Sucrivoire, filiale de Sifca, le premier employeur privé de la Côte d’Ivoire. Dans cette tribune, il présente les résultats de la politique de responsabilité sociale et environnementale (RSE) du groupe agro-industriel.
SIPH a enregistré un bénéfice semestriel de 61,2 millions d’euros à la fin juin, contre une perte de -33,3 millions d’euros au premier semestre 2014. Une performance due à une revalorisation des actifs et à une baisse des coûts du producteur d’hévéa.
Alors que ses bénéfices ont chuté de 94 % en trois ans, le groupe ivoirien se rapproche encore davantage de Wilmar, numéro un mondial de l’huile de palme,
afin de doper ses activités oléagineuses.
SIPH, filiale du groupe agro-industriel ivoirien Sifca, a annoncé pour 2014 un chiffre d’affaires en recul de 30,5% et une perte opérationnelle de 77,3 millions d’euros. En cause : la chute des cours du caoutchouc l’année dernière.
Doublé par le groupe français Avril dans la reprise d’une partie des activités de Suneor, l’ivoirien Sifca envisage néanmoins un rapprochement stratégique avec le leader sénégalais de l’arachide, a appris « Jeune Afrique ».
En ce mois d’octobre 2014, Sifca, le premier groupe privé de Côte d’Ivoire, fête ses 50 ans. Un demi-siècle de vie tumultueuse pour l’ancien leader du cacao, devenu le numéro un africain de l’huile de palme et du caoutchouc.
Épaulé par EDF, le géant ivoirien mise sur les énergies renouvelables. Un moyen de valoriser les déchets de ses exploitations et d’offrir des revenus supplémentaires à ses planteurs.
À Aboisso, en Côte d’Ivoire, une mini-révolution s’annonce : la construction d’une centrale d’énergie alimentée par de la biomasse, la première en Afrique à être reliée au réseau électrique national.
En 2013, le groupe agro-industriel Sifca a vu son chiffre d’affaires reculer de 5% à 511 milliards de F CFA (770 millions d’euros) et son bénéfice net baisser de 59% à 24 milliards de F CFA (36,5 millions d’euros). Ces résultats sont dus à la chute des cours mondiaux d’hévéa conjuguée à l’impact de la taxe spéciale sur le caoutchouc en Côte d’Ivoire.
Le directeur général du groupe Sifca, Bertrand Vignes, s’est publiquement élevé contre la taxe de 5% payée par les industriels du caoutchouc en Côte d’Ivoire. Au cours d’une conférence de presse, il a également rappelé les chantiers du groupe, notamment dans la production énergétique.
Longtemps directrice de la communication d’Orange Côte d’Ivoire, Henriette Gomis-Billon est désormais garante de l’image du groupe Sifca. La nouvelle recrue est l’épouse de Jean-Louis Billon, un des actionnaires de référence du groupe ivoirien.
L’agro-industriel ivoirien Sifca prévoit d’investir 417 millions de dollars au cours des cinq prochaines années dans des plantations et des usines au Ghana, au Nigeria et au Liberia.
Depuis qu’il s’est élevé contre le monopole du groupe Bolloré sur le port d’Abidjan, le ministre du Commerce est sur la sellette. Portrait d’un homme d’affaires qui rêve d’une carrière en politique.
L’agro-industriel ivoirien Sifca s’allie avec le singapourien Wilmar, en entrant à hauteur de 49,5 % dans le capital de sa filiale ghanéenne Wilmar Africa.
À la tête de l’ivoirien Sifca depuis mars 2011, le Français détaille la stratégie de diversification géographique et sectorielle du premier groupe agro-industriel d’Afrique de l’Ouest. Il répond aussi aux critiques formulées à l’encontre d’un de ses produits phares.
Le projet de la société ivoirienne Biokala permettra de produire de l’électricité à partir de troncs et de feuilles de palmiers à huile. Alors qu’il vient d’être enregistré auprès des Nations unies, les financiers se bousculent.
Malgré la crise postélectorale ivoirienne, la Société africaine de plantation d’hévéas, filiale de Sifca, a affiché de belles performances en 2011. Mais le marché se dégrade et assombrit les perspectives.
La cour de justice de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) rendra le 22 février son arbitrage dans un différend, qui, depuis 2008, oppose l’ivoirien Sifca et le sénégalais Suneor. En juillet 2009, en pleine « guerre des huiles », ce dernier avait déposé un recours pour faire annuler le regroupement de Sifca et du singapourien Olam, qui, selon lui, débouchait sur une situation de monopole et constituait un cas de concurrence déloyale. Las de se faire la guerre, les deux huiliers avaient fini par s’entendre en 2010 et par presque oublier l’affaire. Mais la justice a suivi son cours…
Touché au cœur durant la crise postélectorale, le premier groupe privé de la Côte d’Ivoire panse ses plaies. Mais pas seulement. Le voilà qui, déjà, réamorce sa stratégie de croissance en Afrique de l’Ouest, notamment dans l’hévéa et le palmier à huile.
Présent au Liberia depuis bientôt trois ans, le géant agro-industriel ivoirien Sifca a réalisé à quelques semaines d’intervalle deux opérations majeures dans le caoutchouc et l’huile de palme, deux de ses trois filières principales avec le sucre. Il montre ainsi sa vitalité, à l’heure de présenter un excellent bilan 2010.
Conséquence de la baisse des cours du caoutchouc et de l’huile de palme, Sifca, le premier groupe privé ivoirien, a vu son chiffre d’affaires 2009 reculer de 27 %.
Détachement de cadres, formation, méthodes de production… Les géants singapouriens Wilmar et Olam ne ménagent pas leurs efforts pour faire de Sifca le leader régional incontesté de l’huile de palme.