Chinoises, émiraties ou encore françaises. En raison de son potentiel encore sous-exploité, le secteur de l’énergie solaire en Afrique attire une multitude d’entreprises étrangères spécialisées dans les ressources renouvelables.
Kinshasa entend remettre à plat sa collaboration avec Pékin, au vu du peu de chantiers lancés dans le cadre de l’accord signé en 2008, qui prévoyait pourtant la construction de bâtiments publics et de routes d’une valeur totale de 9 milliards de dollars.