Chinoises, émiraties ou encore françaises. En raison de son potentiel encore sous-exploité, le secteur de l’énergie solaire en Afrique attire une multitude d’entreprises étrangères spécialisées dans les ressources renouvelables.
Un train urbain moderne à Kinshasa ! En partenariat avec deux entreprises privées, le projet de la capitale congolaise de réhabiliter et d’étendre son réseau ferroviaire est plus que séduisant. Voire un peu trop…
Les groupes venus de l’empire du Milieu continuent de capter plus d’un tiers des projets d’infrastructures sur le continent. Mais leurs bailleurs de fonds se montrent de plus en plus prudents.
L’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) et le chinois Sinohydro ont signé le 26 février à Conakry le contrat commercial pour l’aménagement du barrage hydroélectrique de Koukoutamba, dont la puissance future est estimée à 294 MW.
Élu il y a près de deux ans, le président ghanéen, Nana Akufo-Addo, n’a pas manqué de rigueur dans sa gestion. Mais le poids de la dette et la faillite des banques limitent sa marge de manœuvre et compromettent ses promesses de campagne.
Ils sont tous les 3 entrepreneurs, d’origine asiatique et mènent leurs affaires sur le continent africain, où ils font chacun un excellent chiffre d »affaires.
L’entreprise Sinohydro Corporation a accepté de soumettre son programme de conformité à la Banque africaine de développement pour vérification. L’institution panafricaine a de fait estimé que certaines pratiques du groupe chinois, observées notamment dans le cadre d’un appel d’offres de la BAD en Ouganda, étaient frauduleuses.