Louis-Paul Motaze, ministre camerounais des Finances, tire la sonnette d’alarme pour la deuxième année de suite. Mais les responsabilités sont partagées.
Si les entrepreneurs africains commencent à être séduits par le secteur des banques pour diversifier leurs activités c’est parce qu’elle apparaissent comme des valeurs solides. Ce n’est pas forcement le cas au Cameroun où des grands noms du secteur bancaire ont connu des échecs marquants.